Une sodomie vue par un homme.

C’est un soir sur le canapé nous regardions un film tranquille. Elle somnole fatiguée par une journée laborieuse.
Je la regarde en pensant ; qu’elle est belle !
Je la cale entre les coussins remonte sur ses épaules un plaid que nous avions sur les jambes. Elle semble s’endormir paisiblement, je l’embrasse doucement.

Un autre bisou et l’envie de la caresser, doucement mes mais redécouvre ses formes tant de fois exploré. Ses seins dont j’adore le galbe, sa chaleur devient enivrante et je glisse ma main dans sa culotte. Je sais qu’elle adore cela elle me dit souvent que pour elle cela la fait monter en flèche, que ça l’émoustille. J’avoue que je m’en fiche, c’est à moi et j’ai le droit de visite quand bon me semble.

J’aime jouer avec sa douce toison. Il est vrai que la mode des sexes épilés ou même mon côté dominant n’impose pas que cette partie anatomique soit glabre.
J’aime jouer de sa douce toison… En revanche, je n’ai jamais osé toucher son petit orifice…
Par crainte du jugement, de que pensera-t-elle ?
Mon doigt, s’égare de ses poils soyeux vers la fente légèrement humide de son sexe. J’adore sentir qu’un sexe de femme soit lubrifié à mon contact. C’est dans mon imaginaire une preuve de son désir.

Elle est souvent en pantalon en jean, qui met son cul en valeur. J’adore lorsqu’elle est en moto devant moi voir le tissu qui va « exploser » ! Son cul m’excite beaucoup… Et là complètement abandonnée j’ai envie de lui. Envie de la prendre. Je sens mon cœur accélère à cette idée, ma main tremble et mon doigt s’avance plus près de sa rondelle. Lorsque j’ai le doigt dessus j’attends, la peur de sa réaction… rien !

L’absence de réaction me rend plus téméraire. Je reviens vers son doux minou qui me semble plus mouillé que précédemment. Puis retourne vers son anus. Mon doigt va et vient vont entre  son périnée lubrifié par sa cyprine et son anus que je caresse de plus en plus franchement. Crainte soudain elle bouge, j’ôte ma main… elle se déplace d’un seul coup pour se mettre en chien de fusil les fesses orientées vers moi. Je l’entends dire : « que fait tu ? » et sa main recouvre ses fesses du plaid.

Le doute, me bloque. Je m’assoie confortablement en retournant aux images de la télévision.
Mais la tentation est trop forte ma main revient sur ses fesses. Je les caresses doucement épousant leurs rondeurs, magnifique cul. Les femmes savent elles comme j’aime les regarder lorsqu’elles marchent devant moi ?
Sous le plaid les rondeurs de son cul attirent ma main comme un aimant l’acier.
Je soulève le voile pudique qui me cache la chair chaude et douce, mon cœur, ma main tremblent lorsque je vois sa culotte tendue sous la couverture.
Je n’hésite plus et délicatement je glisse sur le haut de ses cuisses le fragile tissu de la dernière barrière.
Enfin la lune pleine sous mon regard envieux.

Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d'amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu'au cœur de son ourlet.

Naturellement, je me souviens de se quatrain de Rimbaud…
C’est son petit cul que je vois offert par la belle. Ma main se pose et mes doigts fouillent dans l’antre vraiment humide de son sexe. Je reviens à mes approches précèdent son anus bien mieux exposé à mes attouchements…
Ma main flatte la croupe, la masse, la lustre… j’écarte les deux galbes pour mieux voir l’œillet plissé de ma convoitise, J’introduis un doigt, puis deux dans sa fente que je connais tant et reviens doucement caresser la douce rondelle. Je le titille puis j’ose pousser dans son fondement mon index qui disparait englouti. C’est chaud est doux, mon premier doigt dans son cul.

Je ressors doucement et regarde le merveilleux postérieur de ma copine. C’est une beauté !
Sur la toison de son sexe perle des gouttes de cyprine, ses lèvres sont gonflées et je m’aperçois que son anus à de légère contraction. Je n’avais jamais fait attention à cela et voir les plis de sa rondelle « vivre » est pour moi magique. Je comprends à ce moment qu’elle ne dort plus.
Mademoiselle profite, passive de tourments….

Alors je passe à une approche plus agressive. Une main, des doigts caressent son sexe, cherchant son clitoris et l’autre s’occupe du côté sombre de sa force qui m’entraine dans un creux que je veux combler Je remets un doigt, puis deux qui entrent maintenant plus doucement que l’index, mais qui entre je la sens s’ouvrir et je perçois même son cul aller à l’avant de cette intrusion. J’aime sentir sous mes doigts la douceur des tissus de son colon. C’est magnifiquement doux. J’apprivoise son cul avec mes va et vient, je crache régulièrement sur mes doigts pour faciliter mon intrusion.

Enfin en abandonnant sa figue pour libérer mon sexe que je présente devant son anus, je pose mon gland devant la porte. Gland tendu par le plaisir, une perle lubrifiant sort du méat, je pousse… Là il entre lentement, je le vois s’introduire en elle… Un petit gémissement, douleur ? Plaisir ?
Je ressors mon sexe qui ne veux pas, je le ressors doucement pour bien le lubrifier de ma salive.
Je recommence mon intrusion dans un cul qui n’a pas bougé et je m’enfonce, m’enfonce lentement jusqu’au moment où je sens que le passage est plus facile. Mon gland est entièrement en elle…

Le contrôle est difficile, de ne pas la pilonner furieusement.
J’avance plus profondément je vois mon membre faire de mini va et vient qui millimètre par millimètre disparait en elle et là je marque une pause. Je suis en elle j’encule une femme, je suis passé de l’autre côté. Pendant cette pause, je dépose des petits baisers dans son dos ma main cherche ses seins.
Elle me dit :
-    « Mais que fais-tu ? »
Sans rien dire de plus elle se met en levrette tendant ses fesses encore plus. Je l’attrape  par les hanches des deux mains, moi debout et elle sur le canapé. Elle s’offre, elle est belle vu ainsi. A chaque aller et retour elle pousse des petits cris. Elle gémit

Mon sexe est bien plus serrer que dans un vagin, je commence mes va et vient tirant des fois sur ses épaule pour m’enfoncer le plus possible en elle
Ses gémissements sont de doux bruit à mes oreilles, entendre une femme prendre du plaisir. Je ne peux plus m’arrêter, je ne peux plus contrôle … et ses gémissements puis je l’entends dire, murmurer…
-    « Viens en moi ! »
Je deviens fou… elle est prête à accueillir mon sperme en elle !
Il ne me reste plus qu’à jouir  qu’elle sent mon sperme chaud couler en elle.
Mes mains se contractent sur ses hanches et j’éjacule avec des soubresauts dans son cul.
Je reste un moment ainsi à reprendre mon souffle et me retire lentement de son anus



(Sodomie mode d'emploi)
Tu trouves mon cul splendide, brûlant, profond, musclé;
Un fourreau de velours que t'aimes à perforer
Et, à loisir, violer
Sans répit, jusqu'à m'faire hurler de volupté.

Magnifique reptile, d'abord, ta langue en liesse,
Avec délicatesse,
Cajole longuement mon œillet assoupi
Humidifie ses fronces, lentement l'assouplit,
Insufle sa chaleur
Et petit à petit, le réveille en douceur.
Ne voulant être en reste, ton majeur droit, tendu,
Nixe toujours en rut,
Espiègle et égrillard, vient aussi faire sa cour.
Avec application, il en explore le tour
Uniment, excitant,
Caressant en frôlant l'huis déjà palpitant.
Unissant leurs efforts, ta langue et son complice,
L'entrouvent et se glissent,
Tour à tour, tous les deux dans mon perthuis soyeux
Onctueusement lisse. Alors, ton doigt fougueux,
(Un instant hésitant
Juste avant de forcer le doux étranglement)
Oubliant courtoisie, tact et galanterie
Une fois introduit,
Redevenant le voyou qu'il était toujours
S'enfonce d'un seul coup dans mon chaud puit d'amour,
Puis, tel un diablotin
Rejaillit aussitôt en libérant mes reins
Et s'en va rechercher l'index, son voisin.
Tous deux tendus et joints,
A leur tour, sur le seuil, dans une sarabande
Entraînent avec eux le reste de la bande.
Tandis que ma gorge, elle,
Roucoule de plaisir, tous dansent de plus belle;
Entrent, sortent, élargissent, humectent mon fourreau
Dans lequel, illico,
En m'ouvrant plus encore, ton sceptre triomphant
Fiévreux et turgescent, s'enfonce lentement.
Ores, mes muscles secrets,
Nullement contrariés d'avoir été forcés,
Comme lutins agiles, compriment et relachent
Enserrent ton pieu, le massent
Diaboliquement de la base jusqu'au gland;
Un massage mielleux et ferme en même temps,
Rehaussant ton désir

Ensemble, nous surfons sur des vagues de plaisir,
Marchons jusqu'en haut d'un Everest de délice,
Et là, feux d'artifice !
Nous jouissons tous deux. En noyant mon calice,
Tu m'orgasmes plus fort.... que fontaine de Trévisse.

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