Sylvie, la forêt…
Je rencontre cette femme professionnellement.
Elle a des yeux… je n’ai jamais vu cette couleur un bleu très intenses.
Je n’aime pourtant pas les yeux bleus et ceci me fascinent.
Elle est ma subalternes, j’ai pour habitude… je me refuse de « coucher »
avec des collègues de travail, trop dangereux d’après moi !
Nous sommes à une période trouble de ma vie, crise de la quarantaine ?
Recherche de mes valeurs, tout était complexe dans ce monde que j’ai du
mal à comprendre.
Je ne viens sur ce site que deux fois
par semaine.
Sylvie est toujours là avec ses yeux.
A chaque fois elle vient me chercher pour boire le café avec les infirmières et les autres employées de cette maison de retraite. Je suis là pour faire les comptes, commandes et vérifier si les résidents sont satisfaits. Elle se met toujours à côté de moi lors du café matinal et sa cuisse touche régulièrement la mienne.
Le temps passe, ses yeux fascinant m’envoutent !
Encore une fois la mémoire est sélective.
Comment j’ai pu faire ce geste.
Comment en suis-je arriver à oser ?
Je revois le contexte debout devant moi, qui me demande quelque chose.
Elle est petite une tête et demi de moins que moi.
Dans ce bureau immense qui sert aussi de réserve, où le personnel peut
passer à n’importe qu’elle moment…
Je me vois lors d’une discutions me lever et l’embrasser sur la bouche.
Je l’entends dire :
- Mais alors !
- Mais alors !
Sa bouche est chaude mouillée est accueillante,
suave, sensuelle…Elle se laisse faire me répond même le temps que nos langues
se rencontrent.
Je lui caresse les cheveux et sans un mot appuie sur son épaule. Elle fléchi
les genoux ses yeux bleus au niveau de mon sexe. J’ouvre mon pantalon et lui présente
ma verge qu’elle absorbe rapidement.
Elle n’est pas farouche Sylvie. Son regard bleu me vrille pendant ses va
et vient, je suis fasciné par ses yeux. Je sens que je vais éjaculer… En
silence mon sperme gicle en elle.
Elle me boit ; Je ne sais pas ce que je lis dans ce regard qui vient
de me sucer comme j’adore, ce que je lis me plait.
Sans un mot elle se relève je l’embrasse. Elle repars à son travail.
J’avoue que cette expérience fut…
Déroutante, j’en apprends sur moi, sur les autres.
Je revois des situations similaires ou je n’ai pas osé… Suis-je érotomane ?
Ma situation complexe de cette période à un nouveau paramètre qui ne
facilite pas mon existentialiste.
Et Sylvie dans cette histoire ?
A chaque fois que j’y vais-je profite de sa bouche.
Dans ma tête « utiliser » ainsi des yeux… à ce moment n’est pas
facile à assumer.
La situation est comique maintenant lorsque j’y pense. J’ai utilisé une
femme comme rarement elle est une bouche aux yeux bleus où j’éjacule sans retenu.
Sylvie, je l’ai sodomisé, dans ce bureau, elle m’a sucé de nombreuse fois
et ce malgré le contexte et la visite régulière de personne qui venaient
chercher du matériel.
Elle qui avait comme maitre mot « Je ne suis pas une salope… »
Alors que jamais je n’ai pensé cela, pourtant elle…
Vu de l’extérieur, vu par les gens bien-pensant elle en avait le comportement.
Vu de l’extérieur, vu par les gens bien-pensant elle en avait le comportement.
Je n’ai pas eu une réaction de « Maître » avec elle, j’étais
et je suis persuadé que j’aurai pu en faire une soumise.
J’ai adoré dans tous les cas utiliser sa bouche.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire