Sa langue s'égare

Je me retourne sur le côté, dormir !
Morphée semble bien plus puissant ce soir que les invitations d’une disciple de Pan.
Je m’endors sur les conseils avisés de Morphée, laissant ma nymphe sur sa faim.
Je pars dans l’ouate des méandres de mon sommeil.
Mon corps ne me donne plus d’information externe je suis parti…
Morphée est le plus fort il a gagné !

Morphée est un bon Dieu, il me donne des sensations merveilleuses. Mon corps est soumis à des caresses divines, des attouchements licencieux. Je ressens de nouveau des effleurements sur mon corps.
Morphée est  aussi un compagnon de jeu de Pan ?

Quelque chose parcourt mon dos, douce caresse. C’est agréable.
Cela se dirige  vers mes fesses. Rarement les femmes me caressent là, je ne sais pas si c’est en sanctuaire.
Je ne me prive pas d’abuser de leurs doux galbes à mes yeux, pas que les yeux d’ailleurs…
Pan est là c’est certain !
Morphée lui abandonne mes rêves…
Je sens mes fesses caressées, effleurées, massées, ces caresses sont plus libertine elles vont dans mon sillon. Explorent, frôlent,  effectuent diverses pressions pour bien glisser entre mes deux fesses.
J’aime et pousse mes fesses aux devant de ces caresses.
Cette fois-ci, il se passe quelque chose de différent. Je sens un doigt qui passe sur mon anus. Ce n’est pas la première fois :
Une femme, une soumise qui lors d’un bain me fait une fellation elle pénètre mon anus avec son doigt.
Doucement, délicatement, sans me brusquer ; Son doigt s’enfonce en moi et sa bouche cherche mon plaisir.
Puis elle s’arrête et me regarde.
–    Tu ne ressens rien ?
–    Si j’ai un doigt dans les fesses…
Elle sourit et reprend son activité.
Je ne pense pas que cela ait changé beaucoup mon plaisir. Je ne veux, voulais surtout ne pas lui interdire des choses qui me semblent normal de lui faire.

Cette main allait elle recommencer abuser de moi, de mon coma morphinique ?
Ses doigts me titillent sans vouloir aller plus loin.
La caresse a-elle durée longtemps ?
Puis plus rien je retourne dans les limbes de Morphée.

Une main glisse entre mes cuisses je sens ma verge accepter un peu trop facilement ce contact…
Puis on m’écarte les fesses. Je sens une chaleur humide… Elle passe sa langue tout autour de mon petit trou et se met à l'embrasser, le lécher…
Je viens de comprendre qu'elle a très envie de me lécher les fesses.
Sa langue plonger directement dans mon petit trou et me fouiller la rondelle.
Je me mets à quatre pattes tant l’envie, la sensation est extrême. Je me retrouve en levrette une femme qui me lèche les testicules le périmé et l’anus.
J’ai quelque fois pratiqué cette caresse sur des femmes.
Certaines appréciaient d’autre non.
Je pense que cette caresse et tellement intime que… elle devient gênante.
Cette femme qui m’a dit c’est sale… Alors qu’elle passé son temps à me sucer après n’importe qu’elle pénétration même une sodomie.

La position à quoi aussi de me surprendre je suis à la merci de ses caresses divines…
A quatre pattes mes fesses offertes à sa langue et de sa main elle me masturbe…
Elle me procure un plaisir immense, je me régale de m’imaginer le cul offert, masturbé ainsi…
Le plaisir du contexte de la situation et de son initiative, je ne sais pas ce qui est le plus troublant.
Passif, elle me caresse et me trait comme un animal…
Je sens que je vais jouir, que je vais partir rapidement !
–    Bois-moi.
Elle enfourne ma verge juste au moment où j’éjacule. Un plaisir immense me vrille le corps.

Pan est un bon Dieu, il me donne des sensations merveilleuses.
Je m’endors rapidement suite à ces attouchements licencieux.
Morphée est un bon dieu ?


Lèche-cul : insulte plutôt gentillette, portée dans le langage commun pour qualifier une personne flatteuse, soumise ou assujettie au pouvoir d’autrui, prête à se plier en quatre pour satisfaire les volontés et les besoins de ce dernier voire même de les devancer en vue d’en tirer un avantage.

Les apparences sont trompeuses… Dans l’idée de tout à chacun, être lèche-cul a une connotation négative. Normal, dans une société manichéenne où n’existe que deux types de personnes : les dominants et les dominés. En gros, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont le cul léché et ceux qui le lèchent…

La notion même de lécher le postérieur d’un individu semble être le paroxysme de l’assujettissement, la pire des abominations, il est difficile d’imaginer plus basse besogne. Et pourtant…

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