Sodo...

Je ne me souviens pas de ma première sodomie.

Je suppose enfin ma mémoire me dit que c’est avec Laurence.
J’ai bien dû franchir le cap à un moment celle où je me souviens que la pratique était régulière avec Martine.

De mémoire aucune femme ne m’a refusé cette pratique.
J’essaye de me souvenir des différentes maitresses que j’ai eues…
Certains avaient « pratiqué » je n’ai jamais demandé avant de le faire.

Celles qui ne l’avaient pas fait, ont accepté « facilement » de me donner leur anus pour que je puisse me glisser en elle.
Je n’ai pas souvenir d’avoir argumenté longuement avec l’une d’elle.
Déjà dans ma tête il est clair qu’une femme qui se donne à moi, qui me veut comme amant doit m’offrir tous ses orifices.

Moi qu’est-ce que je recherche dans cette pratique ?
Je peux lire :
– L'objectif premier est la recherche du plaisir et l'épanouissement dans sa propre libido.
Les chemins qui mènent au plaisir sont variés et variables selon les individus, mais dans tous les cas, il s'agit d'une alchimie entre les sensations physiques perçues et le sens que l'on peut donner à l'acte en lui-même.

Si je comprends bien la sodomie (toutes pratiques aussi) c’est arriver à conjuguer plaisir physique et cérébralité.
Il est indéniable que de sentir mon sexe dans ses fesses. Enfoncé en elle, cette sensation de sentir ma verge bien serrée dans de couloir du plaisir et bien plus forte que dans un vagin ou une bouche.
J’aime cela, la représente pour moi l'acte sexuel abouti par excellence elle m’offre tout d’elle son corps, sa bouche (premier passage difficile surtout que je veux qu’elle me boive) et son cul (au sens véritable). Cela va plus loin c’est aussi une alchimie « plaisir physique/cérébralité »…

Pour moi, les sensations physiques que je peux ressentir lors de la sodomie est particulièrement riches, beaucoup plus riches, beaucoup plus variées, que lors d’un rapport vaginal.

L'idée d'utiliser un orifice qui initialement n'est pas dédié au sexe afin de prendre du plaisir est un concept particulièrement excitant… Je ne pense pas ainsi même si des fois j'aime l'idée de détourner, J'aime repousser des limites, explorer son corps…
L'instant de la pénétration est un moment particulièrement fort. J'aime cette sensation de « forcer », au moment où mon sexe entre en elle. J'aime sentir son anus lutter puis se dilater progressivement, jusqu'au relâchement total. Et, j’aime m’enfonce en elle jusqu’à ce que mon ventre soit sur ses fesses. Et je jubile lorsque je l’entends soupirer ou dire des mots qui sortent de sa bouche… Mots qui d’habitude restent cachés.

Comme cette fois dans une ville de la banlieue parisienne où nous étions au restaurant.
Je ne sais plus ce qu’elle avait fait pour que j’en arrive là d’ailleurs me fallait-il une raison ?
Je me vois très bien la retourner en pleine rue la coller contre le volet de cette maison de ville soulever sa robe poser ma main sur sa nuque pour qu’elle se cambre bien et enfoncer mon sexe dans ses entrailles.
J'aime cette pénétration un peu hardie, où je sais que la douleur pour elle cède rapidement la place au plaisir…
Là je ne m’intéressais qu’à mon plaisir j’ai du éjaculer rapidement et mon sperme à coulait en elle.
Mais l’entendre dire :
–    Non pas ici.
Mais s’abandonner, puis très rapidement elle a soupiré, son cul se collait à moi il était clair que la situation ne la laissait pas insensible. Se faire prendre en pleine rue à 300 m de son lit.
–    Ouiiii… Plus vite, plus profond…



La sodomie véhicule une cohorte de symboles qui sont autant d'éléments qui contribuent à la monter de mon excitation puis de mon plaisir. L’interdit de l’acte, dans un contexte judéo chrétien y est pour quelque chose ?
Interdit au niveau social, culturel ou religieux, la sodomie reste encore un taboue.
La pratiquer, c'est transgresser cet interdit ? Avec toute l'excitation que cela peut impliquer. Et j’amène ma compagne à le faire à faire le don d’elle, si je lui demande c'est qu’elle livre, me donne ce qu’elle peut avoir de plus intime, de plus personnel. S'offrir analement, c'est s'offrir entièrement, pleinement, sans aucune retenue. Je la sonde, je la transperce. Et pour cela elle a surement dû elle aussi se dépasser.

La sodomie m'apporte une palette de sensations beaucoup plus diversifiées qu'une pénétration vaginale. Les sensations évoluent au cours du rapport, en  fonction de la préparation,  de la position, du rythme, de l'état de dilatation de l’anus, de mon sexe aussi…

Quels préliminaires…pourquoi toutes mes maitresse ont-elles acceptées ma demande ?
Je n’ai pas de réponse il n’y a eu aucune contrainte (enfin je crois)1.
J’ai essayé à chaque fois d’instaurer un climat de confiance et la préparation à la pénétration est une phase primordiale, afin de dilater progressivement le sphincter anal, et de le préparer à la pénétration. Les préliminaires jouent alors un rôle capital.

Elle doit aussi en avoir envie, envie de se sentir possédée complètement la sodomie n’est pas une pratique anodine. Je pense que si les femmes que j’ai sodomisée ont acceptées ma demande c’est que d’une certaine façon la femme soumise en elle m’a reconnue et cela aide à se sentir prête ?


1) Je me souviens de cette première rencontre ou j'ai accepté de m'abandonner à toi. Pourquoi ? je ne saurais le dire. J'étais subjuguée je crois. Alors la soumise en moi avait elle reconnu son Maître ? Probablement qu'il y a de cela. Je me souviens seulement de cette envie profonde de m'offrir totalement à toi.

Aucun commentaire: