Ma langue s'est égarée

Ma langue s'est égarée entre tes fesses... Egarée ? Non, pas du tout... Elle sait ce qu'elle fait ici. Elle sait ce qu'elle est venue chercher, ce qu'elle veut... elle rampe sur ta peau. Râpeuse et chaude, elle marque son chemin de sa trace humide... elle est descendue lentement le long de ta colonne et s'est engouffrée dans cette échancrure charnelle. Elle approche doucement, s'attardant ici et là, comme pour mieux apprécier le repas qu'elle s'apprête à faire... ce festin que beaucoup lui envient... Elle se glisse, se faufile jusqu'à lui... La voilà prête à le couvrir de sa première caresse...



Avec une infinie douceur, je pose ma langue sur ton petit trou serré. Je te sens fermée, presque peureuse de me laisser goûter à cette peau chaude et fripée. Je laisse ma langue contre les plis délicats de ton anneau pour que tu l'oublies, pour que tu la laisses jouer contre lui, pour que lentement tu lui ouvres le secret de cette alcôve rose. Patiemment, je goûte, découvre, apprend et apprécie ce contact. Ma langue se contorsionne et s'enroule contre toi, contre lui. Je tente quelques petites intrusions mais il est trop tôt. Je dois mériter ce temple. Alors je reprends mes caresses avec application et patience. Ma salive coule contre ton trou et chaque coup de langue le rend plus glissant encore… Je le lèche, le suce avec douceur, avec envie et toujours avec respect. Le goût de ton plaisir se mêle lentement à ma salive. Ton sexe s'est mis à couler comme une fontaine aux senteurs vulgaires et provocantes. Mes coups de langue enduisent ton petit trou de ce mélange troublant de ma salive et de ton jus chaud et entêtant. Je lèche et bois ce breuvage improbable avec d'autant plus de plaisir que chacun de mes coups de langue appelle un flot plus grand encore de ton nectar… Tu inondes tes cuisses de ton plaisir et ton cul est submergé par ce flot intime. Je lèche, encore et encore. Ma langue se raidit et se plante au centre de cette rosace enfin détendue. Je sens tes chairs s'entrouvrir légèrement et m'inviter à poursuivre mes efforts. Tandis que ma langue continue à charmer le gardien de ton temple, mes mains remontent le long de tes cuisses et se saisissent fermement tes fesses. D'un geste ferme et sûr, je t'ouvre, comme un fruit mûr et révèle ce que ton jus chaud si abandonnant ne pouvait plus cacher... ton cul est prêt...



Alors ma langue, servante dévouée se retire et quitte à regret ton petit trou qu'elle a tant aimé caresser. Une armée de doigts investit ma place. Descendus des hauteurs de tes fesses, tu les sens courir entre elles. Certains s'égarent dans ta chatte trempée. Ils frottent, caressent, titillent ton clito. Pendant que les uns écartent les lèvres de ton sexe, d'autres plongent profondément dans tes chairs mises à vif... je te doigte et te torture de la plus exquise des façons. Mais mes doigts n'oublient pas ce qu'ils sont venus faire. Ils se glissent aussi profondément qu'ils peuvent, s'enduisant ton plaisir qui les rend si glissants... si glissants, oui voilà pourquoi ils se sont attaqués à ton sexe... Enduits de ton plaisir, les voilà qui remontent ton sillon de chair rose et ils se mettent à travailler ton petit trou. L'un se glisse doucement pendant que les autres massent ce muscle si particulier... Je te sens détendue maintenant, presque gourmande... Ton cul s'ouvre doucement et accueille mon index profondément en toi. Tu te cambres, remues ton cul, gémis, glousse et te trémousse avec indécence... J'aime assister à cette transformation... tu te métamorphose. La femme gracieuse et digne cède sa place à la salope gourmande... à la fille désireuse de se faire baiser par son amant. Tu m'abandonnes ce corps que j'aime tant caresser et choyer par milles attentions...



Un doigt s'est glissé en toi et rapidement un autre l'y rejoint. Lentement, je tourne mon poignet et sens ton anneau enserrer mes doigts. J'aime ce contact incongru, cette étreinte perverse... Mes doigts glissent doucement dans un va et vient tendre et rythmé. Mon plaisir est énorme. Découvrir ce nouveau plaisir avec toi est grisant, enivrant... Pendant que mes doigts s'occupent de ton petit trou, je plonge à nouveau ma langue entre tes cuisses. Je te lèche comme un amant gourmand. Je bois à ta fontaine de vie. Le flux doux et chaud coule dans ma gorge. J'aspire ce nectar parfumé pour notre plaisir à tout les deux... J'ouvre ton sexe à grands coups de langue. Je doigte ton cul, écarte doucement mes doigts pour ouvrir ce col encore trop serré à mon goût... J'aime ton odeur. Je raffole de ton plaisir. J'en apprécie le goût et la texture fluide qui nappe ma langue avant de couler dans le fond de ma gorge. Chaque mouvement t'arrache un petit râle de plaisir. Ainsi encouragé, je m'applique à te donner ce bien être qui te transforme si joliment... Et puis tu n'y tiens plus... tes doigts rejoignent ton entrecuisses. Tu les lances au fond de ta chatte affamée. Tu lui offres deux doigts pour la remplir un peu plus. Nos doigts s'entrechoquent contre la fine paroi entre ton sexe et ton cul... Tu es folle... hystérique... tu gémis, cries, râles, soupires... ton corps se cabre, se tord. Des spasmes le contractent... Tu hurles... le plaisir s'empare de toi. Une boule de feu explose dans ton ventre. Tu es belle. Non, magnifique ! Je te regarde et me délecte de ce plaisir si fort de te voir jouir sous mes caresses. Lentement, je me retire et te sers dans mes bras... Je te sens contre moi. Nos peaux chaudes sont collées l'une contre l'autre. Je te sens encore absente, partie... Je te sers contre moi et embrasse tes cheveux, tes épaules, ton cou. Comme j'aime te sentir contre moi...

Le capot

Le plaisir était au rendez vous et pourtant, ce soir là, je n’ai pas joui ; pas facile pour moi, d’accepter, je suis si gourmande d’orgasmes, sourire. 

J’ai oublié d’autres détails, ces petites morsures délicieuses, qui donnent des frissons, et votre phrase signifiant que cela vous est réservé… sourire, cette envie de « vous manger ! » 

Vos paroles et votre regard, plein d’humour, je les sens « vrais ». Ai-je tort ? 
Je ne sais encore ; vous dites et faites… vous faites ce que vous dites et dites ce que vous faites ! 

Vous savez écouter. Vous êtes « normal », sourire… Vos jambes se resserraient doucement autour de ma tête, j’aimais bien, votre corps parcouru de spasmes, m’a étonnée ! Est ce cela dont vous parliez ? « Tu le sauras » ? 

 Le garage… Descente en pente, noir d’un sous sol… arrivés dans la voiture… 
Je ne sais après quelle parole prononcée par moi… 
Je reconnais, le bruit de votre ceinture, sans la voir. 
Vous avez ouvert votre pantalon et plonger ma tête sur votre sexe. Ma bouche et mon nez s’y sont délectés. 
Votre sexe grossissant à vu de bouche, mes sens chaviraient et le désir augmentait. 

Quand vous m’avez dit « sors de la voiture, j’ai envie de t’enculer », mon corps a chaviré, je suis sortie, j’ai mis mes mains sur le capot, vous m’avez déculottée et enculée, je vous sentais rentrer sans peine, chez vous. 

Ce plaisir est différent et son intensité n’est pas moindre Merci, Mon Maitre.

Attache la !

Dans mes rapports avec les femmes je ne me suis jamais vu comme dominant.
Elles ont toujours acceptées mes envies. D’ailleurs elles me paraissent normales : fellations complète, sodomies… c’est que bien plus tard que j’ai compris que les femmes connues allaient bien plus loin que beaucoup d’autres femmes.

Je revenais du Royaume unis, de deux années comme cuisinier en maison bourgeoise où j’avoue que ma compagne la plus fidèle était ma main. Mes promises furent rares, traversée du désert pour mon sexe.

En revenant en France, ma mère avait une employée Martine qui couche à demeure.
Je l’ignore, pas qu’elle soit moche ou inintéressante surtout après un sevrage anglais. Mais… elle est l’employée de ma mère.
Je l’ignore ? Oui, combien de temps ? Encore une fois comme dit Jeanne Moreau dans sa chanson « J'ai la mémoire qui flanche, J'me souviens plus très bien… ».
Un soir nous jouions aux cartes et je lui suggère un gage pour celui qui perd. Elle accepte. J’ai dû gagner car je me souviens de l’embrasser et de découvrir son corps agréable sous mes mains, ma bouche…

Petit à petit nos nuits sont communes.
Elle vient dormir dans ma chambre…

Et un soir où elle s’endort sagement. J’ose aller plus loin ! J’y pense depuis quelque temps. J’ai préparé dans la journée mon matériel, caché sous le matelas.
Je sors fébrilement tout d’en dessous en espérant ne pas la réveiller.
Elle sait que je ne m’endors pas tout de suite que je lis ou écris.
Elle ne semble pas perturbée de mon agitation sous le matelas à récupérer les pièces de mon plan. Elle dort profondément sa respiration l’atteste.
Moi je tremble d’envie, de crainte et d’excitation.
Je vois mon simple matériel des cordes de frange trop fine pour attacher quelqu’un. Conscient de cela, j’ai prévu des gants de toilette pour protéger sa peau.
L’ivresse au moment où je mets la corde autour de son poignet. Je suis fébrile tremble de crainte qu’elle se réveille, que mon désir soit éventé…
J’attache pour la première fois Martine au montant du lit et elle dort encore. Maintenant l’autre bras. La chose est plus facile que je l’ai cru, plus simple. Maintenant les bras en croix. Elle est bien sur nue, elle sait que j’aime qu’elle soit ainsi et n’a jamais fait de difficulté à dormir ainsi.
Enfin elle est là offerte les bras en croix, attachée au montant du lit.
Elle dort toujours, elle n’a même pas résisté. Je me demande un instant si elle me trompe, si elle sait ce que je fais… si elle fait semblant de dormir ? Il me semble que non ! Sa respiration est régulière, reposée…
Mon cœur, bat la chamade. J’y suis arrivé… ce fut simple et la suite ?
La voir ainsi offerte, les seins à portée de main, sans qu’elle puisse se défendre… Dans mon idée initiale je voulais attacher aussi les jambes. J’ai peur que ma chance tourne…
Le souvenir aussi flanche comme la mémoire.
Qu’ai-je fait ensuite ?
Je ne me souviens plus.
Mais cela à dû aller plus loin et elle a aimé vu que c’est devenu une habitude de l’attacher.

Bois simplement

Idée pas banal qui est même beurk…
La première fois la genèse.
Elle s’appelle Monique. Je l’ai rencontré au Canada, nous avons voyagé quelques fois ensemble au début les rencontres étaient du hasard, puis vu que nous allions dans la même direction nous nous donnions des rendez-vous.
Une complicité c’est créée sans qu’il y ait de rapport sexuel.

A mon retour en France bien après elle. Je suis resté 3 mois elle 15 jours.
Je renoué contacte avec elle.
Elle avait un amant, je ne vais jamais sur les chasses « gardées ».
Cinéma, resto rien de plus !
Petit à petit nous nous sommes rapprochés intimement.
Relation très simple vanille, bien sur la sodomie, la fellation avec absorption de mon sperme sont d’actualités. Je ne me suis jamais demandé si c’est aussi naturel pour elle que pour moi.

Monique a prévu de déménager à Nice, idée lancée depuis longtemps et notre nouvelle relation ne pouvait pas changer cette idée.
Mon travail me permettait d’aller la voir régulièrement.
L’avantage de ne pas se voir trop souvent permet d’exacerber les envies et d’oser aller plus loin.
Je l’attache de temps en temps, nos jeux vont doucement vers des recherches plus « existantes » Monique n’est pas farouche.

Un jour nous revenons de chez sa sœur. Journée arrosée…
Nous attendons le train pour rentrer chez elle, dans une gare déserte et le soir tard.
J’ai une envie d’uriner que je n’arrive plus à contenir. L’avantage d’être un garçon permet de résoudre rapidement ce problème. Me voilà à uriner sur les rails de la SNCF.

Plus tard, le lendemain, un autre jour ? Je ne me souviens plus.
Monique, est sur les toilettes je me revois devant l’évier. Monique me dit
— J’ai aimé te voir faire pipi.
— Ah bon ?
Je ressens un gène.
Monique me dit :
— Tu aimerais mettre ton sexe dans ma bouche maintenant ?
Monique est toujours assise sur les toilettes. Je ne sais qui répondre, j’’enfonce mon sexe dans sa bouche.
Je pense que ma verge doit vite changer de corpulence… je ne me souviens plus trop bien.
M’a elle suçait un peu ?
Caressait ?
Mais je me souviens de ses mots.
— Pises dans ma bouche…
Je me revois faire l’effort de vider ma vessie. J’ai surement du combattre des préjugés, des problèmes physiologiques pas facile d’uriner en érection.
Le temps gomme facilement tout cela.


Je me revois simplement uriner pour la première fois dans la bouche d’une femme et je sens ses doigts qui massent mes testicules, son regard qui me dit « vas-y ! ». Le plaisir de la voir me boire, m’abandonner dans cette bouche et la sensation d’être… D’être une autre personne reconnue car absorbé par Monique.

Cette pratique n’est pas facile (Je ne parle pas de l’autre). Pas facile d’expliquer pourquoi on veut le faire.
Celles qui ont accepté l’on fait pour qu’elles raisons ? Amour surement, mais il y a surement plus que cela…

Sa langue s'égare

Je me retourne sur le côté, dormir !
Morphée semble bien plus puissant ce soir que les invitations d’une disciple de Pan.
Je m’endors sur les conseils avisés de Morphée, laissant ma nymphe sur sa faim.
Je pars dans l’ouate des méandres de mon sommeil.
Mon corps ne me donne plus d’information externe je suis parti…
Morphée est le plus fort il a gagné !

Morphée est un bon Dieu, il me donne des sensations merveilleuses. Mon corps est soumis à des caresses divines, des attouchements licencieux. Je ressens de nouveau des effleurements sur mon corps.
Morphée est  aussi un compagnon de jeu de Pan ?

Quelque chose parcourt mon dos, douce caresse. C’est agréable.
Cela se dirige  vers mes fesses. Rarement les femmes me caressent là, je ne sais pas si c’est en sanctuaire.
Je ne me prive pas d’abuser de leurs doux galbes à mes yeux, pas que les yeux d’ailleurs…
Pan est là c’est certain !
Morphée lui abandonne mes rêves…
Je sens mes fesses caressées, effleurées, massées, ces caresses sont plus libertine elles vont dans mon sillon. Explorent, frôlent,  effectuent diverses pressions pour bien glisser entre mes deux fesses.
J’aime et pousse mes fesses aux devant de ces caresses.
Cette fois-ci, il se passe quelque chose de différent. Je sens un doigt qui passe sur mon anus. Ce n’est pas la première fois :
Une femme, une soumise qui lors d’un bain me fait une fellation elle pénètre mon anus avec son doigt.
Doucement, délicatement, sans me brusquer ; Son doigt s’enfonce en moi et sa bouche cherche mon plaisir.
Puis elle s’arrête et me regarde.
–    Tu ne ressens rien ?
–    Si j’ai un doigt dans les fesses…
Elle sourit et reprend son activité.
Je ne pense pas que cela ait changé beaucoup mon plaisir. Je ne veux, voulais surtout ne pas lui interdire des choses qui me semblent normal de lui faire.

Cette main allait elle recommencer abuser de moi, de mon coma morphinique ?
Ses doigts me titillent sans vouloir aller plus loin.
La caresse a-elle durée longtemps ?
Puis plus rien je retourne dans les limbes de Morphée.

Une main glisse entre mes cuisses je sens ma verge accepter un peu trop facilement ce contact…
Puis on m’écarte les fesses. Je sens une chaleur humide… Elle passe sa langue tout autour de mon petit trou et se met à l'embrasser, le lécher…
Je viens de comprendre qu'elle a très envie de me lécher les fesses.
Sa langue plonger directement dans mon petit trou et me fouiller la rondelle.
Je me mets à quatre pattes tant l’envie, la sensation est extrême. Je me retrouve en levrette une femme qui me lèche les testicules le périmé et l’anus.
J’ai quelque fois pratiqué cette caresse sur des femmes.
Certaines appréciaient d’autre non.
Je pense que cette caresse et tellement intime que… elle devient gênante.
Cette femme qui m’a dit c’est sale… Alors qu’elle passé son temps à me sucer après n’importe qu’elle pénétration même une sodomie.

La position à quoi aussi de me surprendre je suis à la merci de ses caresses divines…
A quatre pattes mes fesses offertes à sa langue et de sa main elle me masturbe…
Elle me procure un plaisir immense, je me régale de m’imaginer le cul offert, masturbé ainsi…
Le plaisir du contexte de la situation et de son initiative, je ne sais pas ce qui est le plus troublant.
Passif, elle me caresse et me trait comme un animal…
Je sens que je vais jouir, que je vais partir rapidement !
–    Bois-moi.
Elle enfourne ma verge juste au moment où j’éjacule. Un plaisir immense me vrille le corps.

Pan est un bon Dieu, il me donne des sensations merveilleuses.
Je m’endors rapidement suite à ces attouchements licencieux.
Morphée est un bon dieu ?


Lèche-cul : insulte plutôt gentillette, portée dans le langage commun pour qualifier une personne flatteuse, soumise ou assujettie au pouvoir d’autrui, prête à se plier en quatre pour satisfaire les volontés et les besoins de ce dernier voire même de les devancer en vue d’en tirer un avantage.

Les apparences sont trompeuses… Dans l’idée de tout à chacun, être lèche-cul a une connotation négative. Normal, dans une société manichéenne où n’existe que deux types de personnes : les dominants et les dominés. En gros, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont le cul léché et ceux qui le lèchent…

La notion même de lécher le postérieur d’un individu semble être le paroxysme de l’assujettissement, la pire des abominations, il est difficile d’imaginer plus basse besogne. Et pourtant…

Sa main s'égare



Je suis chez elle.
Fatigué de cette journée et de la pression au travail, fébrile, malade, épuisé ?
Nous mangeons simplement et  après nous discutons sur son canapé, je m’endors, je lutte contre le sommeil mes yeux ne veulent rien savoir « rideaux » ils se ferment.

Je vais prendre une douche. Il m'est impossible de me coucher sans ce rituel. Je crois que c’est un moyen de me laver dans tous les sens du terme de ma journée, si je laisse l’eau couler sur moi j’imagine que la crasse part dans les canalisations. Crasses, saletés physiques, et psychologiques… Je me nettoie.
J’aime bien cette salle de bain vieillotte et cette baignoire immense. Je me revois quelque fois pour la punir lui dire d’aller dans cette baignoire et de lui uriner dessus, Je préfère le faire dans sa bouche mais je sais que lorsque le jet chaud de mon urine est sur elle, sur son corps je suis dans ces plaisirs.

Je m’essuie, vais nu jusqu’à la chambre. Chambre que je trouve froide. Elle est haute de plafond dans ce vieil immeuble parisien, le bruit de la rue, les véhicules qui passe régulièrement… Il est encore tôt environ 22 h, je suis crevé !
Je m’allonge dans les draps froids. Je l’entends au loin ranger… enfin je le crois.
Morphée doucement lentement m’accueille dans ses bras. J’adore ce dieu.

Je sens le lit bouger et un corps chaud qui se colle contre le mien.
C’est agréable cette chaleur qui est bienvenue.
Dans cette moiteur agréable, les méandres du demi-sommeil Morphée me rappelle.
Son corps chaud sur moi, je sens sa main se balader sur mon torse, main douce et délicate.
Ses lèvres me font des bisous sur l’épaule. Et sa main comme une plume descend doucement sur mon ventre puis mon sexe flasque, mes testicules. C’est délicieux… je me laisse faire, j’aime ressentir son envie de me toucher, de m’explorer.

Le bruit discret de ses bisous sur mon épaule, je sens son envie de femme son envie d’être caressée, possédée… Elle effleure l'intérieur de mes cuisses. Et revient fatalement vers ma verge qui gonfle sous les attouchements. Elle commence à me masturber… J’adore qu’une femme caresse mon sexe avec sa main qu'elle me branle sans trop tirer sur le prépuce, ses gestes sont doux. Elle veut éveiller mon désir, elle veut que je sois là pour elle.
Elle n’abandonne pas malgré ma passivité.

Ses doigts m’enserrent bien et elle commence un léger va et vient.
Je sens sa tête glisser de mon épaule vers mon ventre. Elle veut me sucer, elle veut sentir ma verge dans sa bouche.
L’image est belle qu’elle aille chercher ce qu’elle désire le plus à ce moment, j’aime cela. Elle joue avec mon sexe le titille s’occupe délicatement de la minuscule partie de mon anatomie. Ses lèvres arrive sur mon gland, qui augmente son volume, et…
 

Je me retourne sur le côté, dormir !
Morphée semble bien plus puissant ce soir que les invitations d’une disciple de Pan.
Je m’endors sur les conseils avisés de Morphée, laissant ma nymphe sur sa faim.
Je pars dans l’ouate des méandres de mon sommeil.
Mon corps ne me donne plus d’information externe je suis parti…
Morphée est le plus fort il a gagné !


Rue sainte Anne

Son corps m’appartient elle le sait.
Elle une fois de plus rebelle… Je la connais elle cherche la confrontation pour que j’aille plus loin ;
Le jeu est des fois « rigolo » et après je me pose des questions…
Pourquoi je fais cela, pourquoi elle accepte.
L’autre jour je l’ai obligé à boire mon urine dans son salon…
Je me revois debout elle à genoux j’ouvre ma braguette et lui enfonce mon sexe encore flasque dans la bouche. Elle pensait qu’elle aller me sucer… J’ai simplement dit :
–    Bois.
J'ai un frisson dans la moelle épinier, elle bois toute ma vessie.
Je vois bien que le jet est trop fort qu’elle fait le maximum pour suivre, elle y arrive pas une goutte ne sort de sa bouche.
–    Merci. Me dit-elle après.
–    Tu es content ?
A sa voix je sais qu’elle me provoque.
Je la retourne la fait mettre à quatre pattes. Soulève sa robe et sans préparation, présente mon gland sur son anus. Juste un peu de salive je m’enfonce dans son cul. Elle ne dit rien mais je vois ses doigts se refermer dans sa paume et serrer le poing.
Je m’enfonce sans problème dans son petit cul serré, j’adore la voir ainsi offerte, le cul en l’air les mains sur le sol au-dessus de la tête elle s’abandonne et même si la douleur de cette sodomie brutale l’irrite elle ne dit pas un mot.

Après quelque va et vient je sais que le plaisir d’être prise ainsi, le temps que son organisme lui dise que c’est bon.
J’aime la situation elle s’offre complètement sans rien dire.
Je l’entends gémir elle aussi aime que je la pilonne sans contrôle, des fois mon sexe sort de son anus et je replonge dedans pour qu’elle ne ressente pas trop le vide de mon absence… A cette cadence et la situation j’éjacule au fond de ses entrailles rapidement dans un tourbillon qui explose dans mon cerveau.
Je reprends mon "souffle", je la tire par les cheveux et présente mon sexe à sa bouche.
–    Lèches.
Ce qu’elle fait, sans commentaire.
J’ôte ma main de ses cheveux, elle sait qu’elle est « libre » maintenant.
–    Tu es content. Me dit elle.
Et voilà cela recommence elle aime me provoquer ^^

La douche

La douche froide…
Je ne me vois pas la frapper. C’est hors de ma façon de fonctionner.
Je n’ai pas continué ce soir-là.
Martine, ne m’a plus lâché après. Pas d’attaques frontales des insinuations, des piques…
Histoires d’hommes qui n’en sont pas etc. Ce qui agace pousse à réfléchir.

Nous avions toujours nos rapports vanilles et aussi le bondage…
Un jour sa proposition a fait son chemin.
Y penser me donnait une érection ; le mal est fait !
Je ressens maintenant cette envie, ce besoin et la vibration dans mon corps lorsque je prépare le matériel. La surprise, je ne veux pas qu’elle s’y attende, je veux la surprendre.
J’adore ce moment de préparation. Là je sais qu’elle est consentante, je sais qu’elle veut sentir mes actes.
Mais… que de mais encore.
Vais-je lui faire mal ?
Vais-je la blesser ?
Que faire s’il arrive un accident.
Cet acte n’est plus anodin !
Et dans le contexte personne ne meut m’aider. Internet n’existait pas ou à son début…
Qui peut m’aider ?
Que de doutes, de craintes sans réponse.
Heureusement je sais faire des choses, soigner des plaies, recoudre aussi.
Il n’est pas question que je n’assume pas mes actes et que je ne canalise pas mes peurs elle le veut !!!

L’envie et l’érection à l’idée.
La peur, les doutes castrateurs de la mise en pratique…
Doucement l’envie et Martine gagnent du terrain.
J’ose !


Comme d’habitude je l’attache à la rambarde.
D’ailleurs il va falloir la renforcer elle grince de plus en plus elle n’est pas prévue pour cela.
Martine est ce soir-là passablement excitée, j’ai évité de m’occuper d’elle depuis quelques jours… Elle me fait la tête jusqu’au moment où elle comprend mon envie de la posséder.
Câline, douce, elle se laisse faire. Très réceptive je la sens fondre au moindre attouchement.
J’adore la sentir ainsi, vibrer au moindre caresse.

Elle est attachée, je ne mets pas la barre entre ses jambes.
Un bandeau sur les yeux et je me recule. Je la regarde elle est belle, ne bouge pas attends.
Je respire un grand coup sors le fouet et le fait claquer d’un seul coup. Elle sursaute, ne dit pas un mot.

Je me recule un peu recommence, elle ne réagit pas.
Je soulève le bras et frappe doucement, une caresse… Rien, pas de réaction.
Je recommence plus fort…
Puis encore, plusieurs fois.
Elle n’a rien dit je m’approche d’elle l’embrasse, ma mains va directement sur son entre jambe, qu’elle écarte elle est trempée. Je l’embrasse et demande :
- Je continu ?
- Oui. Dit-elle dans un souffle
Je l’embrasse de nouveau.
Et recommence, le coup a dû être plus fort elle lève le pied sous l’impact.
Encore une fois…
Et mon corps change, j’ai une érection violente… Je veux la frapper fort, envie de la voir gémir sous mes coups, de voir des larmes sur son visage boudeur. Envie de la voir se tordre, me supplier.
Je lève ma main sous le coup plus violent qui cingle, elle gémit sous l’impact. J’aime l’entendre c’est excitant…
Je lève mon bras recommence, elle aussi…
Je veux plus… je veux voir des larmes !
J’ai peur de ce que je deviens…
J’arrête !
Je m’approche d’elle, ramasse ces larmes… J’aime cela aussi, la consoler de mes actes.
Sans la détacher, je la caresse et lui donne du plaisir. Qu’elle est belle !


Et après ?
Les questions sur mon plaisir de la frapper ?
La peur surtout de ce que je deviens.

La douleur...

Je suis incapable de dire quel jour que j'ai perdu ma "virginité...".
Je ne sais pas ce que j'ai ressenti lors de la première fois où je jouis en Laurence !
Lorsqu’elle m’a sucé…
Lorsque je l'ai sodomisé...
Je ne me souviens plus de ses moments qui peuvent paraitre importants aux yeux de mes congénères…
Mon premier souvenir sexuel avec Laurence c’est sa main.

J’ai d’autres souvenirs moins physiques, moins érotiques. Souvenirs de complicités, de moments fragiles, éphémères, subtiles, ces petites choses qui font que l’on est bien ou pas.
Des histoires, des anecdotes qui sont plus sympathique qu’érotique.
Comme la fois où elle m’a dit lorsque j’ai voulu la lécher… une fois de plus encore.
- Doucement la dernière fois je suis resté sensible plusieurs jours…

Pourtant ! Je ne me souviens pas de ses jouissances alors que pour moi c’est important la jouissance de l’autre.
Je me souviens aussi de cette période où je passé mon temps à contrôler mon éjaculation pour ne pas jouir trop vite pour garder mon contrôle de mon corps. Je lis le Tao philosophie asiatique… La peur de ne pas contenter une femme, de ne pas contenter Laurence et je ne me souviens plus de rien ou presque de ce que fut nos ébats amoureux.

En écrivant ces mots pour toi, pour moi surement aussi, un souvenir me revient.
Celle nuit où nous étions ensemble dans une chambre elle dans un lit moi par terre sur un matelas.
Pourquoi ce contexte ? Sa grand-mère est aussi dans la chambre. Chambre à trois… elle fait tout cette vieille femme pour que Laurence et moi soyons dans des situations complexes et de non intimité, nous avons tout fait aussi pour contre balancer ses plans.
  •  De cette nuit interminable ou nous nous sommes mutuellement caressés en évitant tout bruit… Nos respirations devaient pas tromper l’entourage nous étions dans notre bulle.
  • Ou cette autre fois je dois partie je ne sais plus pourquoi elle est allongée dans son lit, je l’embrasse avant de partir, ma main glisse sous les draps, ses cuisses chaudes et accueillantes s’ouvrent, son sexe moite accepte ma caresse. Mon retour en voiture avec le nez contre ma main… quel odeur de plaisir !

Je me souviens par contre très bien de la fois où elle m’a dit c’est fini.
Ce mal, cette nausée, cette envie de pleurer, de hurler, de crier…
Pourquoi ? Je n’aurai pas de réponse lorsque c’est fini… c’est ainsi.
Pourtant mon « remplaçant » est mon sosie physiquement… Qu’ai-je raté ?
Je me souviens de cette gifle, cette douche froide… De mon errance dans la France parti de la Savoie chez sa mère en allant de ville en ville, de train en train… Trouver, retrouver une envie de vivre, c’est elle ! Elle l’était…
Mon cœur saigne, mon esprit ne sait plus réfléchir et de plus les gens qui pensent t’aider avec des niaiseries rendent la situation encore plus douloureuse. Surtout ne rien dire, ne rien entendre…
Ce remettre en question. Pourquoi ?
Le pourquoi n’aura jamais de réponse. Comment alors, comment ne plus souffrir ?

J’essaye de me rattraper aux branches. Il n’y en a pas.
Un jour en voiture je rencontre un homme qui fait du stop. Je le reconnais un ami de sa mère, de la mère de Laurence. La douleur est trop forte.
- Où vas-tu ?
Il me répond.
- Je vais voir la grand-mère de Laurence.
La douche elle est encore dans mon cœur.
Je fais demi-tour le ramène à la gare et lui dit :
- Tire-toi de là quitte ma ville, retourne à Annecy…
Je ne veux rien voir de ce qui me la rappelle.
De retour chez moi, je bois…
L’appelle, bois, rappelle… ses réponses ne me conviennent pas ! Je bois encore.
Là la pharmacie de ma mère, j’ouvre et prends ce qui vient, avale et bois encore…
Plus rien... L'inconscient et les délires...

Ma mère, je l’entends au loin, très loin…
Ma mère qui n’aime pas la « faiblesse » est là, elle voit… ma douleur et elle m’engueule.
-  Qu’as-tu fait ?
-  Qu’as-tu prit ?
Réponse, puis plus rien.
Un médecin, une piqure… 2 jours de sommeil…
Vaseux… à mon réveil, mon oncle est là, il m’impressionne toujours avec ses 2 mètres… une force de la nature. Un dieu !
Il me laisse pas le temps de réfléchir m’amène avec lui chez lui, me fait bosser comme un forçat… Me fait oublier, essaye !
Putain cela fait mal !
La conne, la pute, la salope, mon Amour...

De cette histoire plusieurs choses en sortent.
Mon oncle je le découvre, je découvre un archétype.
On se sort d’une douleur et elle existe, elle a un sens, une vie.
Ne pas..., plus... s’accrocher ou, ne pas le faire voir ! Pour ne pas souffrir (c’est faut mais c'est politiquement correcte…).

Après... J’ai consommé les filles comme des vieilles chemises, elles payent pour Laurence… Conneries, machiste mais c’est ainsi.
Puis je suis parti à l’armée une nouvelle vie recommencer avec d’autres expériences.

Une Autre vie à mon retour d'Angleterre.
Martine...  pour commencer.

Je lècherai de plus en plus vite comme un chien affamé jusqu’à ce que ton con soit une masse de bave.

8 décembre 1909

Ma douce petite putain de Nora,

J’ai fait ce que tu m’avais prescrit, vilaine petite fille, et me suis astiqué deux fois pendant que je lisais ta lettre. Je suis enchanté de savoir que tu aimes être baisée par le cul. Oui, maintenant je me souviens de cette nuit où je t’ai baisée si longtemps par derrière. Jamais je ne t’ai baisée aussi salement, mon amour. Mon dard était planté en toi pendant des heures, allant et venant sous ta croupe retroussée. Je sentais tes fesses grasses et moites sous mon ventre, et je voyais ton visage rouge et tes yeux déments. A chaque fois que je te pénétrais, ta langue sortait effrontément d’entre tes lèvres, et si je te pénétrais plus fort et plus profond que d’habitude, de gros pets sales sortaient en crépitant de ton derrière. Tu avais un cul plein de pets cette nuit mon amour, et je t’en ai vidé en te baisant, des gros et gras sympathiques, de longs venteux, de simples petits craquements rapides, et beaucoup de vilains petits pets minuscules s’achevant par un long souffle de ton trou. C’est merveilleux de baiser une femme qui pète quand chaque coup de reins lui en fait sortir un. Je crois que je reconnaîtrais les pets de Nora en tous lieux. Je crois que je pourrais les distinguer dans une pièce pleine de femmes qui pètent. Ils ressemblent à un bruit de petite fille, et non aux pets humides et venteux dont j’imagine que les grasses épouses sont capables. Ils sont soudains, secs et sales comme ceux qu’une fillette insolente lâcherait la nuit pour rire dans le dortoir d’un pensionnat. Je souhaite que Nora ne cesse jamais de me péter à la face pour que je puisse connaître toujours leur odeur.

Tu dis que lorsque je reviendrai tu me suceras et tu veux que je lèche ton con, petite canaille dépravée. J’espère que tu me surprendras une fois tout habillé pendant mon sommeil, que tu te glisseras au-dessus de moi avec, dans tes yeux endormis, une lueur libertine, que tu déferas doucement, bouton après bouton, la braguette de mon pantalon, et que tu prendras délicatement la queue de ton amant, puis que tu la goberas dans ta bouche humide et la suceras avidement jusqu’à ce qu’elle devienne plus grosse et plus dure et que j’éjacule dans ta bouche. Une fois également je te surprendrai pendant que tu dormiras, je soulèverai tes jupes et je relèverai doucement tes dessous brûlants, puis je m’allongerai lentement à côté de toi et je commencerai à te lécher autour de ta motte en prenant mon temps. Tu commenceras à remuer et à t’agiter, puis je lècherai les lèvres de ta chatte mon amour. Tu commenceras à grogner et à grommeler, à soupirer et à péter de désir dans ton sommeil. Alors je lècherai de plus en plus vite comme un chien affamé jusqu’à ce que ton con soit une masse de bave et que ton corps se torde sauvagement.

Bonne nuit, ma petite Nora péteuse, mon sale petit oiseau baiseur ! Il y a un joli mot, mon amour, que tu as souligné pour me faire mieux m’astiquer. Écris-moi encore sur ce sujet et sur toi, tendrement, et plus salement, plus salement.

JIM


Quel est votre nom ?

Lettre de James Joyce à Martha Fleischmann : « Quel est votre nom ? »



J’avais la fièvre hier soir, en attendant un geste de vous.

Mais pourquoi ne voulez-vous pas m’écrire même une parole. Votre nom ? Et pourquoi fermez-vous toujours les stores de la fenêtre ? Je veux vous voir.

Je ne sais pas ce que vous pensez de moi.

Comme je vous ai déjà dit nous nous sommes vus et parlé — mais vous m’avez oublié.

Voulez-vous que je vous dise quelque chose ?

 Ma première impression de vous.

Voilà.

Vous étiez vêtue de noir avec un gros chapeau aux ailes flottantes. La couleur vous allait très bien. Et j’ai pensé : un joli animal.

Parce qu’il y avait quelque chose de franc et presque d’impudique dans votre allure. Puis, en vous regardant, j’ai observé la mollesse des traits réguliers et la douceur des yeux. Et j’ai pensé : une juive. Si je me suis trompé il ne faut pas vous offenser. Jésus-Christ a pris son corps humain dans le ventre d’une femme juive.

J’ai pensé souvent à vous et après, quand je vous ai reconnue à la fenêtre je vous regardais avec une espèce de fascination dont je n’arrive pas à me libérer.

Il se peut que tout ça vous laisse indifférente.

Il se peut que je vous semble ridicule.

J’accepte votre jugement.

Mais hier soir vous m’avez fait un signe et mon cœur a sauté de joie.

Je ne sais pas votre âge.

Moi, je suis vieux — et je me sens plus vieux encore.

Peut-être ai-je trop vécu.

J’ai 35 ans. C’est l’âge que Shakespeare a eu quand il a conçu sa douloureuse passion pour la « dame noire ». C’est l’âge que le Dante a eu quand il est entré dans la nuit de son être.

Je ne sais pas ce qu’il se passe en moi.

Est-il possible qu’une personne, éprouve des sentiments comme les miens et que l’autre ne les éprouve point ?

Je ne sais pas ce que je veux.

Je voudrais vous parler.

Je me figure un soir brumeux. J’attends — et je vous vois vous approcher de moi, vêtue de noir, jeune, étrange et douce. Je vous regarde dans les yeux et mes yeux vous disent que je suis un pauvre chercheur dans ce monde, que je ne comprends rien de ma destinée ni de celle des autres. Que j’ai vécu et péché et créé, que je m’en irai, un jour, n’ayant rien compris, dans l’obscurité qui nous a enfantés tous.

Comprenez-vous peut-être le mystère de votre corps quand vous vous regardez dans la glace, d’où est venue la lumière fauve de vos yeux ; la teinte de votre chevelure ?

Comme vous étiez gracieuse, hier soir, assise à la table, rêveuse et puis, soudainement, levant ma lettre à la lumière.

Quel est votre nom ?

Pensez-vous quelquefois à moi ?

Écrivez-moi un mot à l’adresse que je vous donne.

Vous pouvez m’écrire aussi en allemand. Je le comprends très bien.

Dites-moi quelque chose de vous,

Oui, écrivez-moi demain.

Je crois que vous êtes bonne…

Aie...

Martine est une femme qui aime la confrontation.
Elle aime bien me pousser, me pousser pour que j’aie des réactions contre elle…
Je l’attache régulièrement sans utiliser la violence, elle se laisse faire sans résister.
Pourtant dès qu’elle ressent les liens contre elle, lorsque je prends ses mains pour les attacher son corps fond littéralement, son entre-jambe devient très humide.

J’essaye de trouver de nouveaux contextes, des situations différentes pour donner à nos jeux des ressentis plus intenses.
Une fois je l’ai attaché dans le couloir de la maison. Ce couloir large de deux mètres se sépare en deux avec un escalier qui monte vers une pièce et il continu vers d’autres chambres. Cet escalier donne sur un palier qui passe au-dessus du couloir comme une passerelle qui a une rambarde. Cette rambarde permet d’attacher une personne debout avec les bras liés au-dessus de la tête.
J’aime particulièrement cette position qui n’est pas facile à réaliser. dans une maison, Il faut des poutres ou des crochets.
L’avantage au milieu du couloir c’est que j’ai accès à tous son corps.
Les inconvénients il faut être seuls, je suis chez ma mère heureusement elle part souvent.
L’autre inconvénient cette position est très difficile pour la personne attachée, elle fatigue, et si elle à du plaisir les soubresauts peuvent lui blesser les poignets malgré que je fasse attention en la protégeant.



Martine comme dit ci-dessus provoque, me provoque régulièrement me pousse…
Je peux partir facilement, me mettre en colère et dans ce contexte j’évite les rapports sexuels. Je ne suis pas violent physiquement, ne frappe pas les gens.
Martine par jeu, par plaisir aime pourtant me pousser dans mes retranchements.
Un jour j’avais un fouet de meute, fouet qui est utilisé pour être claqué au-dessus des chien pas pour les fouetter.
J’aime bien le faire claquer par jeu, j’ai aussi un fouet de cochet hongrois qui fait 2 mètres 50 qui est difficilement utilisable il faut de la place et beaucoup d’énergie pour arriver à ce qu’il claque. C’est amusant pour moi.
Je m’amuse avec ce le fouet de meute et Martine je ne sais plus pourquoi me fait une réflexion.
Par amusement je lui réponds :
- Vient prendre ta dose…
Martine s'avance vers moi.
- Vas-y !
Heu… joker. Je n’ai rien dit, ni rien fait.
Le soir ou un autre soir…
Martine me demande de l’attacher à l’escalier.
Je ne me fais pas prier j’adore cela. J’aime aussi depuis peu mettre une barre a ses chevilles ainsi elle est complètement offerte.
Je la caresse, elle se trémousse dans tous les sens. Seins tendus et sexe complétement lubrifié par la situation.
Mes doigts sont inquisiteurs et la fouillent partout. Je peux la prendre, la sodomiser aussi. Elle est à ma merci, juste là pour que j’assouvisse mes envies. Elle vibre sous mes doigts et j’entends ce qu’elle murmure.

Le train, la suite du voyage.

Changement de train et de contexte, un corail sans compartiment.
Des couples de sièges de chaque côté d’une allée centrale.
Nous sommes enfin assis et au chaud.

Le train démarre, il est chauffé.
Je regarde la lumière de la ville passer derrière la fenêtre, puis c’est le noir de la campagne avec des halos ponctuels ou au loin.
Monique relève l’accoudoir entre nous deux et vient se blottir contre nous.
Le froid du voyage précèdent a dû me fatiguer je sens que Morphée m’appelle pour que je le rejoigne. Aidé par le bruit rassurant et mécanique d’un train qui roule je m’endors la tête sur la fenêtre glacée.

Le bruit régulier des roues sur les rails est comme une douce musique qui me berce. La morsure du froid sur ma tempe me réveil et ce vent de la climatisation me parait aussi glacé que la vitre.
Nicole dort aussi sa tête contre mon épaule et sa main droite sur mon ventre. Elle se sert de sa doudoune comme d’une couverture posée sur sa poitrine.

Je la regarde tendrement en laissant mon esprit voguer.
Notre rencontre au Canada nous retrouvant d’auberge de jeunesse en auberge de jeunesse.
Mon retour en France et où je l’ai revu sans vraiment penser à ce qui aller se passer.
Ma nuit de fête chaste chez elle, ses nuits charnelles chez moi…
Son départ pour Nice, mutation professionnelle.
Que faire, la suivre… Vivre ce moment présent ?
Je ferme les yeux, le film de mon existence défile dans ma tête. Les doutes…
Ce Nouvel An à Clermont-Ferrand entre amis où elle est venue.
Et là, je la raccompagne à Nice ne sachant que faire…

Ruminer n’est pas bon et au bout de quelques instants mes envies d’elle me reprennent.
Mes doigts sentent encore l’odeur de son sexe, odeur enivrante qui me donne une érection.
En même temps, nous savoir dans ce train où la lumière violente empêche toute intimité. Que les autres peuvent nous voir me dérange un peu...

Je ne suis pas exhibitionniste, j’aime vivre caché. Des fois la concupiscence vous pousse à vous dépasser. Ma main glisse sous son pull à la recherche de son sein, le ventre chaud et muscle est terriblement existant, je remonte ma main cachée par la doudoune et atteint l’objet de ma convoitise. Il reste « ce sacré nom de Dieu » de soutiens-gorges. J’adore ses formes. Ses seins sont comme j’aime juste dans ma main. Ils sont souples et fermes, je titille la pointe de ma victime. Elle se réveille et sans un mot sa main défait un bouton de ma chemise et se faufile sur mon ventre.

Je me laisse faire
Ses doigts jouent avec mes poils autour du nombril puis sa main s’aventure sur ma cuisse.
Et se pose sur la bosse de mon sexe, je tressaille sa main s’approche des boutons de mon pantalon elle les défait un par un… puis détache ma ceinture. Mon sexe s’échappe par l’ouverture créée seul le tissu tendu de mon caleçon évite son exposition à la vue de tous.


Elle m’abandonne…
Un « non… » Silencieux résonne dans ma tête.
Elle déplace la Doudoune pour couvrir ses actes. Et commence à caresser mon sexe tendu sous caleçon. J’adore sentir sa main sur mon sexe gonflé d’envies.
Mais j’en veux plus…
Elle libère ma verge de sa frêle prison trop étroite pour contenir mon désir d’elle.
Plus rien n’existe je n’ai qu’une envie c’est qu’elle me prendre dans sa bouche !
Je regarde mon entre jambes la doudoune cache facilement ses actes, elle n’a pas bouge sa tête qui est toujours posée sur mon épaule dans un semblant de sommeil réparateur.

Je la regarde en coin fixe sa bouche sensuelle que je veux libertine.
- « Tu ne voulais pas me sucer dans l’autre train ? »
Sans aucune réponse elle accélère ses caresses sur mon sexe.
S’arrête frôle mon gland et tourne autour du méat d’un doigt doux et lubrifié de mon désir.
Une nouvelle fois sa main quitte ma verge. Je la vois sortir de la doudoune.
Elle porte un doigt humide à ma bouche que je suce avidement comme un phallus pour bien lui faire comprendre mon besoin.
Je n’ai qu’un désir dans ce train qu’elle prenne ma verge au fond de sa bouche.

Soudain elle se laisse glisse le long de ma poitrine.
Je soulève la doudoune, elle m’embrasse le ventre de doux baisers et…
Je sens sa langue sur mon gland gonflé qu’elle lèche doucement, pointant de temps en temps la pointe dans mon méat… C’est divin ma main se crispe sur sa nuque.
Elle fait glisser sa langue le long de ma verge comme si elle lèche un Esquimau.
Quel délice, j’aime la sentir sous sa langue…
La lécher ne semble pas lui suffire (moi non plus d’ailleurs).
Elle me prend dans sa bouche.
J’aime tellement être sucé… Je ne sais pas ce qu’elle en pense elle ?
Soudain… je sens ma verge s’enfoncer profondément dans sa bouche, elle  me suce, me déguste, me bouffe tout entier…
Elle alterne entre sa bouche et sa main. Me branle, me suce, lèche mes boules... Je la sens animale. Elle l’enfonce tellement profond dans sa bouche que je l’entends déglutir difficilement, tousser...

J’essaye de la contrôler peur qu’on l’entende ou qu’on puisse nous voir malgré la doudoune. En même temps cela devient que plus érotique, tellement excitant..
Elle continue  à me rendre fou… Elle n’a plus qu’une envie bien précise qui se fait de plus en plus présente dans mon esprit et que j’attends avec délectation.
Je subis ma séance de « torture », je vais bientôt atteindre le point de non-retour, prêt à exploser.
Sa bouche me suce de plus en plus vite, elle veut me faire jouir, ici dans train.
Ma respiration s’accélère, mon cœur envoie l’afflux de sang plus rapidement dans ma verge.
Mes doigts se serrent sur sa nuque et mes ongles s’enfoncent dans sa chair, cela semble l’exciter encore plus de me mettre dans cet état-là.

Je sens le moment fatal arriver mon sexe se contracte et je  jouis libérant dans sa bouche mon premier jet puis les autres qui’ « inonder » sa gorge. Elle m’avale comme d’habitude, ce qui est bien vu le lieu. Elle me lèche jusqu’à la dernière goutte de sperme. Puis elle pose un dernier baiser sur mon sexe. Se relève sur son siège discrètement et garde une main protectrice sur mon sexe légèrement moins fougueux.

Elle vient reposer sa tête contre mon épaule et me dit :
- « j'avais envie de te sucer. », et me tend ses lèvres.

Un train bondé

Des histoires de train nous en avons tous. Lorsque l’on arrive en retard à un rendez-vous, on peut facilement accuser la SNCF : « Ce n'est pas de ma faute, mon train a eu du retard ».

J’ai une anecdote personnelle sur les trains.
À une période, je travaillais au Royaume-Uni et revenais régulièrement en France.
Train, bateau, train… Départ : Londres. Arrivée : Paris.
Le train de nuit ne partait de Calais que vers cinq heure du matin alors que le ferry arrivait à une heure trente.
Nous devions attendre sur une voie de garage le départ.
Une fois, ce fameux train où les places étaient faciles à trouver pour dormir avait un assemblage spécial. À la place de voitures, la SNCF avait fait un montage artistique voitures et wagons. Trois Voitures et cinq wagons-citernes… Je peux vous confirmer que je ne peux pas entrer dans un wagon-citerne et que le nombre de voitures ne correspondait plus à la populace présente. L’attente fut longue…

Mais lorsqu’on est soi-même la SNCF, qu’est-ce qu’on dit ? On a rassemblé pour vous les pires excuses de notre compagnie ferroviaire nationale. Tout est véridique.

En attente d'un membre du personnel de bord.
La fameuse panne de réveil. Elle est si courante, pas de raison que ça n'arrive pas de temps à autre au personnel de bord. Si on estime à 40 000 le nombre de conducteurs et contrôleurs de la SNCF, et qu'on part du principe que chacun d'eux peut légitimement oublier de se réveiller une fois par an (le lendemain d'un anniversaire arrosé par exemple), cela fait tout de même 110 pannes de réveil par jour sur l'ensemble du réseau.

Attente d'une rame ou de la locomotive.
J'étais pourtant sûr de l'avoir garée ici… mais où peut-elle bien être ? Si cela peut vous arriver quand vous avez garé votre voiture à une place inhabituelle, cela peut aussi arriver aux conducteurs de train. Si si...

Arrêt exceptionnel.
Quand on est à court d'excuses...
- Pourquoi sommes-nous arrêtés en plein milieu de la cambrousse ?
- Parce que c'est exceptionnel.
- Ah ok...

Conditions climatiques exceptionnelles.
« Ch'est bon mais ch'est chaud »… ou froid les caténaires gèlent…
« Le retard de votre train ne vous permet pas de bénéficier de la garantie ponctualité. L’incident, dû à des conditions climatiques exceptionnelles, n’est pas imputable à la SNCF ».

Affluence exceptionnelle de voyageurs.
Scoop : cette année le lundi de Pâques est encore tombé un lundi. Votre train a 45 minutes de retard au retour d'un week-end de trois jours et c'est l'imprévisible affluence de voyageurs qui a pris de court la SNCF… Sans aucun doute une des pires excuses de la SNCF.

La fameuse affluence exceptionnelle combien de fois…
Une fois pourtant.
Je suis à Clermont-Ferrand pour le Nouvel An chez un ami.
Je raccompagne Monique chez elle.
Clermont-Ferrand ->Lyon.
Lyon -> Nice.

Nous montons dans le train Coup de chance ou effet du hasard ? Nous trouvons deux places assises dans ce train à compartiment. D’autres voyageurs occupent rapidement les places. Juste lorsque le train démarre, un couple arrive et nous présente leurs réservations.

Nous nous retrouvons debout dans le couloir glacial, je propose de nous positionner à une extrémité de la voiture afin d’être moins dérangé par le va-et-vient des voyageurs dans ce train bondé.

L’avantage les toilettes ne sont pas loin. Par contre, le froid et les courants d’air y sont plus importants.
Je revois Monique dans sa doudoune bleue, le dos collé à la porte et tremblant de froid. Je m’approche d’elle pour essayer de la réchauffer. La chaleur animale de nos corps fait doucement son effet.
Je l’embrasse tendrement.
Nous rigolons de la situation.
Elle claque des dents…


Je l'embrasse de nouveau de bisous plus charnels, ma main caresse ses seins sous sa doudoune.
Je l’ouvre afin de mieux ressentir le galbe de sa poitrine. Monique se laisse faire.
Me susurre, des :
- « Non ! » et des : « Tu es un voyou ! ». Rien qui puisse vraiment me faire lâcher prise.
Sa poitrine est « enfermée » dans son soutien-gorge et sous un pull, mes caresses sont superficielles, pourtant elles semblent avoir un effet réchauffant, Monique ne claque plus des dents.
Elle me souffle ;
- « J'ai envie de toi, de te caresser ».
Je l’embrasse et réponds
- « J’ai envie de toi ! »
Elle se retourne pour coller ses fesses sur mon sexe qui est coincé dans mon pantalon.
L’avantage c’est qu’elle peut regarder le paysage auvergnat.

Mes mains sont plus exploratrices, elles se faufilent sous son pull
Je glisse à son oreille.
- « En arrivant, tu seras à moi complètement ! »
Elle colle sa tête contre la fenêtre et répond :
- « Oui… en rentrant. » Et soupire.
Une de mes mains profite pour se couler dans son pantalon. Je sens qu’elle rentre le ventre.
Monique veut aller plus loin…
Je me colle encore plus près d’elle et déboutonne son pantalon, pour que ma main s’enfonce facilement dans ses profondeurs.
J’arrive aux contours de sa culotte… touche sa toison et le bout de mon doigt arrive à la naissance de sa fente. Monique arrête de respirer. Ma main continue son avancée.

Je flatte sa toison, elle écarte les cuisses et un doigt écarte ses lèvres, elle est trempée.
- « Ta culotte n’arrivera jamais à Nice sèche ».
J'ai sa chatte à portée de main. J'y plonge délicatement mon doigt. Sa tête vient en arrière se reposer sur mon épaule.
- « Tu es un voyou… » Dit-elle tendrement.
Je glisse alors l'index et le majeur entre ses grandes et petites lèvres, fait un bref passage à l'entrée du vagin pour humidifier la pulpe de mes 2 doigts et je remonte jusqu'à trouver la petite boule de chair.
- « Tu me suceras après, et je te sodomiserai, j’adore ton cul !»
- « Ouiii… »
Je ne veux et ne peux pas vraiment faire de grandes choses avec mes doigts dans cette position.
Une fois que je la touche son clitoris je navigue autour en variant la pression, l'allure et l'amplitude… Je m’amuse de ses réactions et elle me répète à l’oreille un mantra.
- « Oui, oui, oui, oui… »
Je fais de petits aller-retour à la base et sur le côté de son clitoris d'un côté ou de l'autre comme si j'essayais d'enlever une petite tâche sur une table.

J'adore la caresser comme ça… elle est bien trempée, je temporise en pinçant ses lèvres à pleine main et en faisant quelques va-et-vient de haut en bas, sa cyprine devient abondant elle est vraiment trempée « de partout ! ». J’aime la savoir mouillée de moi. C'est une manière de me montrer que je sais qu'elle est vraiment chaude et qu'elle ne contrôle plus rien puisque c'est moi qui la tiens fermement par mes caresses.
Mon autre main lui pétrit les seins l’un après l'autre sans plus vraiment de délicatesse.
Et là je lui glisse un puis deux doigts profondément pour faire quelques aller-retour entrecoupés de traitresses caresses appuyées et rapides sur son clitoris afin lui rappeler que ça peut remonter d'un seul coup !

Sa tête sur mon épaule, elle soupire et gémit doucement…
Sa main se glisse entre mes jambes, elle me caresse le sexe machinalement au travers de la toile du jean.
Sa douce mélodie des gémissements langoureux au moment où je la caresse de nouveau son bouton.
Elle a surement envie que je lui mette autre chose que mes doigts !
C’est le calme avant la tempête, le moment où je sais qu’elle va jouir.
J’aimerais la prendre en levrette ou la sodomiser pour garder le contrôle…
- « j'ai envie de te sucer ». Me dit-elle doucement.
Et les saccades appuyées de sa jouissance sur mes doigts fait qu’elle s’abandonne flageolante contre moi.



Le train freine dans le crissement du métal contre métal.
- « Lyon, Lyon, deux minutes d’arrêt.
Les correspondances pour Paris, quai n°…
Pour Nice, quai n°…
Pour… »

A suivre

Corinne

22 juin …
J’ai lu un livre trouvé dans le grenier. Il appartient à mon père qui s'appelle le bandeau c'est l'histoire d'une ado qui découvre le sexe et la soumission.

Dans ma chambre, sur le dos, les jambes écartées, les talons sous les fesses en lisant. Je suis mise le doigt dans mon petit trou aussi. Je vivais dans ma tête tout ce qui arrivait à la fille, j’ai joui vite une première fois (5 mn à peine) j'ai continué j'avais encore envie, je me suis caressée plus longtemps et j'ai rejoui.


27 juin …
Je me suis couchée sur le dos, nue sur les draps. En imaginant que je suis sortie sans culotte un homme m'a caressée dans le bus, d'abord par dessus ma jupe puis en passant dessous, je sens sa main qui remonte, il est derrière moi, j'ouvre un peu mes cuisses, sa main frotte ma petite chatte, il me dit que je suis une petite salope, il me met le doigt je sens sa queue il appuis sur mes fesses. Il me met un doigt dans mon petit cul je jouie… je me suis caressée doucement pour faire plus longtemps j'ai bien senti que ça venait comme une grosse boule chaude dans mon ventre j’ai joui fort.


30 juin …
Je pensais que je me donnai à un homme comme une petite chienne. Qu'il me regardait alors que j'étais à quatre pattes, il voyait de près ma petite chatte et mon petit trou. Il m'ordonnait de me toucher devant lui et après il me prenait avec sa queue très longue, très grosse et dure. Je me cambrais pour mieux m'offrir à lui, il me tenait par les hanches et m'enfonçait violemment sur sa queue jusqu'à ce que je sente sont jus gicler dans ma petite chatte pendant que son doigt s'enfonçais entre mes fesses     ma main, avec les doigts dans ma chatte et aussi entre mes fesses

Cette position pour me faire jouir était très excitante, j'imaginais bien avoir un garçon derrière moi. Je n'imaginais pas de visage, j'imaginais un corps, un gros sexe.


3 juillet …
Envie de jouir en me réveillant, j'ai pensé que Jean était venu dans ma chambre, je me suis mise nue , j'ai fait la petite chienne pour lui, je lui montrait ma petite chatte et mon petit trou, je me suis mise les doigts, j'étais toute nue à quatre patte sur mon lit je me suis cambrée, j'ai mis mes doigts en pensant que Jean me regardait , puis il me mettait ses doigts surtout entre mes fesses , ensuite il m'a mise sa grosse queue dans ma petite chatte il faisait très fort, il m'a mis son jus dedans, j'ai jouie… C'est excitant, comme ça je jouis très fort j'ai des contractions dans mon ventre, je coule beaucoup.


7 juillet …
Envie de jouir en me réveillant. Je suis dans ma chambre, je me suis réveillée, j'avais des pensées de sexe. je me suis mise toute nue sur dos en enlevant le drap et la couverture. Je pensais qu'un homme était au pied du lit et me regardait, j'ai bien écartée les cuisses en mettant mes talon sous mes fesses, comme ça ma petite chatte s'ouvre, j'ai commencé de caresser mon bouton , j'ai mouillée tout de suite, j'ai pensé que l'homme venait sur moi et que je sentais sa grosse queue entrer dans ma chatte, très loin, je me suis mise deux doigts , je me suis retenue le plus possible pour que ça dure plus j'ai pensé qu'il me mettait son jus au fond j’ai joui ça a duré presque 15 mn quand j'ai jouie, j'ai coulée ma petite chatte était toute rouge et toute gonflée.


10 juillet …
Je suis sortie sans culotte et sans soutien-gorge lorsque je suis rentrée avec ma petite chatte toute mouillée et une grosse envie de sexe. Mes parents étaient absents, je me suis mise nue dans ma chambre, sur mon lit . Je me suis mise à quatre pattes, pour bien montrer ma chatte et mon petit trou. Je me suis caressée en me retenant, je me suis mise aussi un doigt dans mon petit trou. J’ai joui très fort, j'imaginais que Jean me prenait et que des hommes regardaient comme ceux qui me regardaient pendant que je faisais mes promenades.

Je me suis caressé avec mes doigts et le manche d'une brosse à cheveu qui ressemble un peu à un sexe.

J'aurai aimé être commandée et faire des choses que je n’aurais pas osé faire autrement. Je jouis fort en me caressant, j'ai des contractions pendant que je jouis et aussi juste après.


14 juillet …au bal.
Le garçon me plaisait, il a beaucoup dansé avec moi, en me serrant de plus en plus contre lui. Je sentais son sexe contre moi. Il a commencé de m'embrasser sur les lèvres, j'ai ouvert ma bouche, il a mis sa langue, j'aimais comme il m’embrassait. On est sorti, dehors il a recommencé de m'embrasser, il me caressait les fesses par dessus ma jupe, j'ai senti sa main qui passait sous mon débardeur, je n’avais pas de soutien-gorge. Mes seins étaient durs et les bouts sortaient il m'a pris un bout et l'a serré en le faisant tourner, en l’étirant, j'ai gémis j'aimais, il a vu que ça me plaisait il a fait avec ses deux mains sur mes deux seins. Puis il a pris ma main et l'a posé sur sa braguette, j'ai senti que sa queue était dure, je l'ai caressée en la serrant un peu. Il m'a demandé si je voulais venir dans sa voiture, j'ai dit oui. Dans la voiture il m'a enlevé mon string et m'a caressé ma petite chatte, il a baissé le siège et il m'a léchée. J'ai jouie. Après il s'est assis et a baissé son pantalon et son slip et il a appuyé sur ma tête, je l'ai sucé sa queue avait bon goût, il n’a pas pu se retenir longtemps, il a giclé dans ma bouche, beaucoup de jus, je l'ai avalé et j'ai léché sa queue pour bien la nettoyer. On a discuté un moment, il m'a demandé si il pourrait me revoir je lui ai dit que je ne savais pas, après je suis retournée au bal et je suis rentrée avec mes copines.

J'ai aimé être léchée longtemps et j'ai aimé le sentir gicler dans ma bouche. Le goût de son jus aussi.


15 juillet …
J'imagine que Jean veut se servir de mon petit trou.

Je me suis mise toute nue sur mon lit (parents absents) à quatre patte, j'ai mis de la salive sur mon doigt et j'en ai mis sur mon petit trou en l'enfonçant un peu, j'ai recommencé plusieurs fois jusqu'à ce me mon doigt rentre assez loin. J'ai sucé le manche de la brosse comme une bite, pour y mettre de la salive et j'ai commencé de me l'enfoncer dans mon petit trou .J'y suis allé doucement, au début j'avais mal, et puis au bout d'un moment ça s'est enfoncé d'un seul coup. J'ai caressé mon bouton avec la brosse bien enfoncée entre mes fesses. J'ai mis mon doigt dans ma petite chatte je sentais le manche de la brosse je mouillais beaucoup ça a duré au moins 20 mn puis j'ai jouie, pas comme d'habitude mais très très fort. J'aime par le petit trou


17 juillet …
J'ai regardé les vieilles photos de sodomie trouvées dans les affaires de mon père, elles m'excitaient beaucoup. Là dans le grenier J'ai quitté ma jupe et ma culotte et je me suis caressée. Imaginant que c'était Jean qui me prenait comme sur les images. J'avais fermé les yeux pour bien imaginer et j'ai jouis.

En regardant les vieilles photos j’imaginais…


 Le 1er
Jean me fait venir dans sa chambre, je me suis mise toute nue devant lui, il m’avait ordonné de me coucher sur le lit et de me mettre comme sur dessin. Ma petite chatte et surtout mon petit trou sont complètement offerts. Il regarde mon intimité, je sens son regard, Comme ça je suis complètement à lui, j’ai honte, mais en même temps je suis excitée, je sais qu’il va se servir de moi, de mon petit cul, j’ai envie de ça ....

Le 2e
Jean me fait mettre sur les genoux, les bras écartés, la tête sur le lit, je sens ses mains qui caressent mon dos, puis il me prend ma taille, il la serre avec ses grosses mains, je sens sa grosse queue, le gros bout qui passe dans ma fente, qui remonte entre mes fesses, il appuie sur mon petit cul, c’est la première fois qu’un sexe va me pénétrer par là. Il appuie sa queue me prends, il est gros, j’ai mal mais il continu je me sens un objet, il m’utilise pour son plaisir, il avait envie de prendre mon petit trou et sa queue le prend, je n’ai rien à dire, il est en moi, sa queue je la sens me fouiller, ....

Le 3e
Jean sait bien se servir de mon petit cul, malgré moi, malgré ma honte d’être prise dans mon cul, je sens le plaisir qui vient, j’ai au fond de moi envie de me sentir prise de cette façon, Il se sert de moi, il me dit des choses excitantes en même temps ;

« Salope, chienne j’aime t’enculer et te posséder. » Jean m’enfonce bien sur sa grosse queue en me tenant la taille. Je sens sa queue qui s’enfonce tout au fond de moi et je sens d’un seul coup de grosses giclées Jean se vide bien… je jouis...

La 4e
Je lis le texte inscrit derrière.

« Votre tendre et chère Bérénice fait de jolis progrès mon cher Hector, après des débuts assez laborieux je dois vous l'avouer.

Mais elle vient de comprendre que lorsque la queue est tendue, et que c'est elle qui est choisie, elle n'a plus qu’à agir jusqu'au giclement crémeux, et à avaler, ce qu'elle commence à faire avec talent.

M de la Hunaie, notre notaire qui dinait à la maison hier l'a complimentée et dieu sait s'il est exigeant et généreux en foutre (c'est bien le seul moment). »


26 juillet …
En faisant mon jogging, j'ai rencontré le frère d'une copine, on a couru ensembles. Comme j'arrivai plus à suivre, on a marché. On discutait, il est très mignon, il m'a prise par la taille, puis par les épaules, on s'est embrassé, Il me caressait les fesses en m'embrassant, je l'ai laissé faire, j'avais ma petite chatte qui mouillait. il m'a en mené dans le bois un peu à l'écart du chemin. Il fallait quand même faire attention parce qu'il y avait du monde qui passait .Il m'a appuyée contre un arbre, il passé ses mains sous mon maillot il m'a caressée les seins, j'étais en sueur il m'a léché la poitrine c'était trop bon ! Après il a mis sa main dans mon short et il m'a faite jouir avec ses doigts. Il a baissé son short et a appuyé sur ma tête je me suis mise à genoux et je l'ai sucé, il a jouie super vite et a fait de grosses giclées je l'ai avalé. Il m'a dit que je suçais trop bien qu'il avait eu trop envie de jouir.

J'ai aimé l’imprévu, de faire ça alors que des gens pouvaient passer, ça m'a très excitée, J'aurai aimé qu'il me mette sa queue, mais il avait trop joui. C'était bon de le sucer il m'a donné beaucoup de jus. Je le connaissais pas beaucoup, j'ai aimé être soumise à ses envies;


26 juillet …
C’est le départ je dois retourner chez moi mes parents viennent me chercher. Ils sont sortis au restaurant et rentent tard.

J'ai entendu mes parents rentrés, au bout d'un moment ils sont montés dans leur chambre. Presque tout de suite j'ai entendu ma mère qui gémissait. Je me suis levée doucement, j'ai vu que la porte de leur chambre n'était pas fermée complètement. Ils avaient laissé une lampe de chevet allumée. Ma mère était nue sur le lit et mon père la léchait. Après mon père s'est déshabillé et ma mère l'a sucé. Moi j'étais en maillot de nuit et en culotte, je me suis caressée en les regardant. Ma mère est venue sur mon père, elle bougeait beaucoup et mon père lui donnait des gifles sur les fesses et les seins. Après il est venu sur elle, il lui donnait de grand coups ma mère a crié et mon père a joui en elle…

Moi aussi j’ai joui et je suis vite retournée dans ma chambre très très excitée. Je me suis re-caressée en pensant à mon père et sa une grosse queue… que ma mère suce et elle se fait bien baiser on voit qu'elle adore. J'ai rejoui très fort…


Fin

Sylviculture...




Sylvie, la forêt…
Je rencontre cette femme professionnellement.
Elle a des yeux… je n’ai jamais vu cette couleur un bleu très intenses.
Je n’aime pourtant pas les yeux bleus et ceci me fascinent.
Elle est ma subalternes, j’ai pour habitude… je me refuse de « coucher » avec des collègues de travail, trop dangereux d’après moi !
Nous sommes à une période trouble de ma vie, crise de la quarantaine ?
Recherche de mes valeurs, tout était complexe dans ce monde que j’ai du mal à comprendre.
Je ne viens sur ce site que deux fois  par semaine.
Sylvie est toujours là avec ses yeux.

A chaque fois elle vient me chercher pour boire le café avec les infirmières et les autres employées de cette maison de retraite. Je suis là pour faire les comptes, commandes et vérifier si les résidents sont satisfaits. Elle se met toujours à côté de moi lors du café matinal et sa cuisse touche régulièrement la mienne.
Le temps passe, ses yeux fascinant m’envoutent !
Encore une fois la mémoire est sélective.
Comment j’ai pu faire ce geste.
Comment en suis-je arriver à oser ?
Je revois le contexte debout devant moi, qui me demande quelque chose.
Elle est petite une tête et demi de moins que moi.
Dans ce bureau immense qui sert aussi de réserve, où le personnel peut passer à n’importe qu’elle moment…
Je me vois lors d’une discutions me lever et l’embrasser sur la bouche.
Je l’entends dire :
- Mais alors !
Sa bouche est chaude mouillée  est accueillante, suave, sensuelle…Elle se laisse faire me répond même le temps que nos langues se rencontrent.
Je lui caresse les cheveux et sans un mot appuie sur son épaule. Elle fléchi les genoux ses yeux bleus au niveau de mon sexe. J’ouvre mon pantalon et lui présente ma verge qu’elle absorbe rapidement.
Elle n’est pas farouche Sylvie. Son regard bleu me vrille pendant ses va et vient, je suis fasciné par ses yeux. Je sens que je vais éjaculer… En silence mon sperme gicle en elle.
Elle me boit ; Je ne sais pas ce que je lis dans ce regard qui vient de me sucer comme j’adore, ce que je lis me plait.
Sans un mot elle se relève je l’embrasse. Elle repars à son travail.
J’avoue que cette expérience fut…
Déroutante, j’en apprends sur moi, sur les autres.
Je revois des situations similaires ou je n’ai pas osé… Suis-je érotomane ?
Ma situation complexe de cette période à un nouveau paramètre qui ne facilite pas mon existentialiste.
Et Sylvie dans cette histoire ?
A chaque fois que j’y vais-je profite de sa bouche.
Dans ma tête « utiliser » ainsi des yeux… à ce moment n’est pas facile à assumer.
La situation est comique maintenant lorsque j’y pense. J’ai utilisé une femme comme rarement elle est une bouche aux yeux bleus où j’éjacule sans retenu.
Sylvie, je l’ai sodomisé, dans ce bureau, elle m’a sucé de nombreuse fois et ce malgré le contexte et la visite régulière de personne qui venaient chercher du matériel.
Elle qui avait comme maitre mot « Je ne suis pas une salope… » Alors que jamais je n’ai pensé cela, pourtant elle…
Vu de l’extérieur, vu par les gens bien-pensant elle en avait le comportement.
Je n’ai pas eu une réaction de « Maître » avec elle, j’étais et je suis persuadé que j’aurai pu en faire une soumise.
J’ai adoré dans tous les cas utiliser sa bouche.