Un jour…
nous avons décidé de jouer.
Madame doit
se laisser bander les yeux et s'abandonner aveuglément. Ainsi, je peux laisser
libre cours à mon imagination. Elle doit se livrer totalement et en confiance…
Le jeu
commence. Docilement, Madame se laisse faire. Je lui pose un bandeau sur les
yeux. Madame, encore certaines craintes, je le vois dans sa respiration.
Elle se
retrouve dans le noir total.
Je lui
demande tendrement ;
« À genoux »
et pour que cela soit plus confortable pour elle, je place un coussin sous
elle.
Je la
regarde s’exécuter. C’est un moment magique la première fois où elle suit la
demande, elle est magnifique, j’ai envie de l’embrasser et aussi de l’utiliser.
Puis, sans
rien dire, je sors de la pièce. Elle reste seule et attend.
Elle doit se
demande où je suis passé.
Elle
s'inquiète un peu ?
Mais elle
veut jouer le jeu à fond, et ne pas se dégonfler.
Après
quelques minutes, je reviens.
Sa tête qui
bouge discrètement pour comprendre les bruits des d'objets que je dépose. Ils
tintent à ses oreilles.
Je m’amuse à
agiter délibérément quelque chose de métallique.
Elle
l’entend et s'inquiète.
« Tu fais
quoi ? »
Sans réponse
ma main plonge dans son corsage et je lui « pelote » copieusement la poitrine.
Mes deux
mains s'activent à lui défaire les boutons de son haut et lui dégrafe son
soutien-gorge. Ainsi, elle se retrouve, torse nu, poitrine offerte et toujours
à genoux. Je profite sans retenue de ce qui met offert.
Puis, je
pose sur téton un…
D'un seul
coup, elle lâche un cri de surprise. Elle est saisie par quelque chose de froid.
J’ai une
érection à la voir se contorsionner pour atténuer la sensation du glaçon qui
lui « brûle » le bout des seins. Elle ne cherche pas à se dégager en se protégeant
par ses mains, il est convenu que toute intervention de sa part stoppera
immédiatement le jeu. Elle garde ses deux mains plaquées sur ses cuisses et
gémit doucement à cette morsure du froid.
Le froid
cesse, je le remplace par la chaleur de ma bouche qui savoure et mordille ses
tétons de glaces.
Elle se
laisse porter par ce contraste, s'abandonne au plaisir de ma bouche bouillante
qui tète et qui titille goulûment ses petits tétons érectiles.
Cela la fait
gémir doucement. J’aime sucer ses seins doux et laiteux. Les sentir gonfler
sous ma bouche, jouer de ses petits bourgeons roses qui gonflent encore plus
sous mes caresses.
J’arrête
tout et présente à sa bouche ma verge.
Elle accepte
volontiers cette offrande en en léchant mon gland, je pousse entre ses lèvres. Je
bande très fort, j’ai très envie de lui coller toute ma verge dans le fond du
gosier. Elle a bien compris que je désire qu'elle me gobe. Elle laisse libre
accès à l’offrande qui s'enfonce dans sa bouche.
Sans rien
voir de ses yeux, son imagination divague elle ?
Ma verge au
fond de sa gorge navigue dans un doux va-et-vient. J’adore qu’elle me suce
ainsi et je pense que je bientôt jouir au fond de sa bouche chaude et douce.
Je me retire
brusquement avec l’envie au ventre de me finir en en elle.
D’une main
je baisse sa petite culotte.
Je vois mieux
le galbe offert de ses fesses.
Ses cuisses serrées
m’empêchent de voir l’un des fruits de mes désirs, l'Origine du monde…
Ma main se
pose sur son ventre et glisse lentement sur sa peau, doucement le bout de mes
doigts touche la lisière de sa culotte et se faufile sous le tissu à la recherche
de son mont de Vénus, le contact de cette colline est soyeux, chaud et réconfortant.
Sa respiration se bloque et sous ma paume je sens son ventre se contracter… puis
mon index se dirige habilement, entre ses petites lèvres.
Un souffle
sort de sa bouche.
« Écarte
tes cuisses. »
Légère attente
et elle obéit.
Ma main
plonge dans l’abime
« Humm
! » Ses lèvres sont déjà bien humides. Mon doigt s'attarde à de plus en
plus lubrifier cette petite merveille qui n'attend que, plus encore…
Elle est
très excitée. Ma caresse du doigt ne fait qu'attiser une envie qui devient un
désir profond.
À nouveau le
bruit métallique tinte à ses oreilles.
« C'est
quoi ? »
Au contact
froid de l’acier elle réagit.
« Ne
bouge pas ! »
J’appuie sur
sa nuque et lui parle calmement.
Avec une
paire de ciseaux, je coupe sa culotte.
Elle comprend…
« Non
pas celle-là… »
Sans rien
dire, je lui écarte bien les cuisses. Elle est maintenant entièrement nue.
Je la
caresse partout afin de la remettre dans des conditions plus favorables pour la
suite.
La culotte
semble oubliée elle gémit à ses nouvelles caresses qui la parcours.
Mes doigts
retourner explorer son intimité bien offerte et humide.
Soudain,
elle sent quelque chose de dur et de long passer entre ses lèvres. Cette chose
coulisse entre ses lèvres dans un sens, puis dans autre.
Cette
surprenante caresse, passe et repasse sur son sexe.
C’est un
collier de perle assez grosse de la taille d’une olive, collier d’un mètre de
long avec un anneau à chaque extrémité afin de mieux le maintenir en main.
Les reliefs
de chaque perle qui passe entre ses lèvres la font tressaillir. Le collier s'enfonce
peu à peu dans sa chatte. Elle en mouille de plus belle… Je le sens à la « glisse »
lubrifiée entre ses jambes.
Elle sent
cette dureté qui coulisse; ça la rend dingue. Certaines perles passent à droite
ou à gauche de son clitoris.
Je la
regarde prendre son plaisir sans retenue. La tête en arrière elle reprend son
souffle à chaque arrêt et inexorablement le collier de perles repart à une
vitesse différente dans l’autre sens. J’adore jouer de ses sensations, de la
voir être envahi par le plaisir.
Je trouve ce
moment magique l’autre s’évade sous la couverture de ses ressentis, la regarder…
.
J’ai une
folle envie de la pénétrer. Mais, je poursuis le jeu.
J’arrête les
mouvements du collier pour insérer dans son vagin un œuf d’obsidienne. La matière
et très douce c’est du verre minéral qui provient des volcans. Elle sursaute au
contact froid de la matière. Elle est pénétrée par tant de dureté et le volume
correspond à un œuf de cane. Elle est surprise, lorsque l’œuf est en elle.
Je reprends
les va-et-vient avec le collier les deux sensations viennent s’ajouter et s'intensifier.
Je la vois
se tendre, gémir sous les caresses.
J’aimerai
bien aussi, jouir d’elle, jouir de la voir s’abandonner … j’ai envie de plonger
ma queue dans son cul.
Aussi, sans
transition, j’abandonne le collier de perles et je m'affaire à lubrifier son anus
de ma salive. Elle est à genoux, reins cambrés, se laisse caresser avec
délectation. Elle est très excitée. Et lorsque je pose mon gland sur sa
rondelle et m’enfonce doucement elle s’ouvre… je sens l’œuf contre ma verge
lorsque j’avance en faisant de lents mouvements qui lui détendent bien l'anus.
Elle se met
à gémir de plus en plus fort. Elle commence à prendre sérieusement son pied. Sa
rondelle est bien dilatée, son vagin est plein et à chaque coup de reins la présence
de l’œuf enserre ma bite. Je lui baise bien profondément le cul. Ses
gémissements deviennent des mots puis
elle hurle de jouissance. Cette baise radicale l'envoie au septième ciel. Je
suis surpris par sa jouissance, et moi aussi j’éjacule, j’arrose de mon sperme son
fondement.
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