Je rêve que j’entre dans une chambre elle est là !

Récit écrit il y a 20 ans...

Depuis combien de temps m’attend t’elle ?
Combien de nuits ?
De jour ?

Son odeur de chair moite m’arrive, par bouffées insidieuses. Je m’approche du lit à cause de la chaleur, elle a repoussé le drap à mi-croupe, j’achève de faire descendre le drap pour découvrir entièrement les fesses.

Sa nuisette est retroussée au-dessus des reins elle n’a pu ni osé m’attendre nue ! Son cul, luisant de transpiration, s'épanouit, légèrement de traviole, car elle a replié une jambe sous elle.

 Je me penche pour scruter l'entre fesse. La tache mauve de l'anus, les poils follets, l'amorce de la fente dans la broussaille emmêlée… Je rapproche mon visage, flair l'odeur fauve qui s'en exhale. Mon pénis se redresse par lentes saccades.

Dort-elle vraiment ?
Je juge suspect l'excès même de son immobilité. J’achève de retrousser la nuisette, en la prenant délicatement sur les côtés, la tirant sous elle, épluchant entièrement sa chair pâle, je fais passer la fine étoffe sous les seins pour les dégager.

Elle fait entendre un léger bruit de succion, un filet de salive brille à la commissure de ses lèvres. Ses sourcils se sont froncés. Je perçois à peine le bruit de sa respiration. Je pose une main sous la cuisse qui est repliée sous le ventre et la soulève puis la fait remonter davantage, doucement. Elle respire plus fort maintenant.

Penché sur son cul, je surveille l'éclosion de la fissure. Les chairs mauves débordèrent entre les poils. Elle a un sexe proéminent, aux grandes lèvres très charnues, dont les nymphes, perpétuellement humides, dépassent comme un ourlet déchiré. La distorsion provoquée par la pose oblique fait bâiller le vagin. Je suis certain qu'elle ne dort plus quand je vois l'anus se crisper furtivement, puis s'étoiler aussitôt. L'ouverture du vagin, aux bords enflammés, d'un rouge ardent, forme une corolle ovale, oblique. Au sommet de la vulve, en partie écrasées sur le drap humide, les nymphes étaient soudées entre elles par la mouille nocturne et la transpiration. Je glisse un doigt dans le gluant de la fente et les sépare précautionneusement; je cherche le clitoris, le fais perler et le caresse doucement...

A nouveau, il y eut ce léger bruit de succion, pareil à ceux que font les nourrissons. Je cesse de regarder son cul pour s'intéresser à son visage. Elle a les yeux fermés, les sourcils légèrement froncés. Sa main reposait près de sa joue, sur l'oreiller. Je la soulève et dirige le pouce de la dormeuse pour le faire pénétrer entre ses propres lèvres. Je pousse lentement jusqu'à ce que tout le pouce soit englouti dans sa bouche.

Je me tiens à genoux sur le parquet; le pénis en érection en la regardant sucer son pouce.
Puis je prends ses fesses et les écarte en les remontant pour achever de faire s'ouvrir l'entaille humide de la vulve. Les chairs luisent entre les poils. Ma main descend le long de la cuisse puis remonte, flatte la hanche, monte encore, s'approprie le petit sein un peu mou et le tâte. Je cherche la pointe, tire dessus, la pince délicatement... J’étudie attentivement son sexe et vois perler une larme de mucosité qui descend sur l'aile d'une nymphe et tombe sur le drap.

Je lui glisse à l’oreille ;
« Tu es mienne ! Saches que maintenant tu es ma Gourgandine… Rien plus rien ne me sera refusé ! »

 Une main sur sa fesse, je pétris, me penche par-dessus elle pour prendre l'oreiller libre. Le repli en deux et fais passer ma main sous son ventre pour la soulever. Elle accompagne le mouvement et me laisse lui mettre le coussin sous son ventre. Ainsi, la croupe est sur élevée et entièrement ouverte. Je la tire de biais sur le matelas et m'installe par terre, le visage à la hauteur de son cul. J’observe ce qui se passe. Les chairs bougent, par spasmes, comme celles d'un mollusque. D'autres gouttes se sont formées et tout l'intérieur de la faille luit d'humidité visqueuse. L'odeur du sexe supplante maintenant celle de la sueur nocturne. Je fais aller et venir mon doigt replié dans la fente, patinant le sillon des muqueuses.

Puis j’introduis un doigt en elle, rien qu'un et le fais pivoter. L'intérieur du vagin est gorgé de mouille. J’introduis un deuxième doigt et force, la paume de ma main sur l'anus. Les fesses se déformèrent sous la poussée et elle creuse les reins un peu plus. Mes doigts atteignent le cul de sac vaginal je cherche l'utérus. Ma position m’empêche de l'atteindre. Je me contente de lui déformer le vagin, ouvrant les doigts en elle comme le bec d'une paire de ciseaux et les fais tourner sur eux-mêmes en les retirant... Les chairs distendues, élastiques, révélèrent une cavité d'un rose nacré aux parois granulées. Je joue ainsi quelques minutes avec son vagin, puis la masturba à nouveau superficiellement, insistant sur les nymphes et le clitoris...

J’hésite… La sucer ou m'occupe son anus ?

Avant tout, il faut la disposer de la façon la plus bestiale possible. Je lui remonte donc l'autre jambe sous elle, ce qui la fait se retrouver agenouillée et ouverte, dans la position de la grenouille. Je m'installe sur le lit, derrière elle, les jambes repliées sous moi en tailleur et me  courbe pour lui lécher l'anus. Je lui écarte les fesses en tirant sur la chair, par poignées, lui déformant le cul afin d'en accentuer l'obscénité. Du bout de la langue, je titille le petit bourrelet. Lui maintenant l'entre fesse bien ouvert de la main gauche, le pouce et l'index en fourchette dirigés vers le bas bien écartés pour faire bâiller l'anus, l’introduisant lentement d'une poussée régulière mon index de la main droite dans son cul.

Elle creuse les reins, s'épanouit, s'offre. L'intérieur de l'anus est brûlant et humide. Je force, fait aller et venir mon doigt. Je lui caresser la muqueuse anale. J’insère deux doigts. Puis un troisième. Je l'entends haleter et sa main se crispe sur sa joue.

Sentant qu'elle approche de l'orgasme, je retire mes doigts de l'anus et saisis la vulve, que je retourne vers le dehors, de façon à expulser entièrement les chairs cachées. Les crêtes des nymphes, érigées, subissent la caresse de ma langue. Mon nez pénétra dans le vagin. Ma langue descend et trouve le clitoris. J’aspire les nymphes et toute la région clitoridienne dans ma bouche. Je suis gorgé d'elle et ne peut plus respirer. C'est comme une descente en apnée dans son con. L'anus juste sous l'œil droit. Je mâchonne les chairs, agite sa langue. Elle aspire bruyamment de l'air entre ses dents, comme quelqu'un qui se brûle, je recul pour respirer, avant qu'elle ne jouisse.

Tout le sexe, déformé par la succion vorace, est d'un rouge sombre et les nymphes pendent, mouillées de salive. Je promène ma langue dans les muqueuses, dans le sillon fessier, allant du vagin à l'anus, je la couvre de salive, puis bois ma salive, la sueur et la mouille.

Je m’arrête, reste assis en tailleur, les yeux fixés sur les ouvertures de sa chair, sur les fesses surélevées. Je me gorge les yeux de son sexe et de son cul. Je la vois frissonner, son vagin s'écarquille, comme si elle pousse du dedans pour l'expulser d'elle-même et mieux s'offrir à la curiosité névrosée qui se repaisse d'elle... Je sais qu'elle sent mes yeux et que c'est pour elle un contact presque physique, à peine supportable.

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