Moi : Ma
Putain, mon amante ^^. Que je te conseille et te guide, donnes moi tes règles !
Ta conception.
Elle : En
tout cas, c'est avec le cœur battant la chamade que je vais à présent te parler
de moi, tant l'appréhension et le désir m'emplissent car j’en étais venue depuis
longtemps à penser que toute correspondance avec un homme était impossible.
J'en ai le haut des cuisses tout humide.
Moi : La
correspondance avec un homme est possible. Homme/Femme, Femme/Homme nous
n’avons pas la même conception des choses, des événements, des relations. Une
femme a souvent besoin d’une approche. Je vais utiliser une « parabole » : Une
femme c’est comme une montagne la marche d’approche peut être complexe et des
fois plus c’est compliquer plus le sommet est gratifiant.
Maintenant
ai-je toujours envie de cette marche ?
Des fois vu
d’un homme c’est tellement plus simple de posséder s’en s’occuper de ce que la
femme veut !
Et l’image
que tu sembles avoir de la domination c’est cela l’homme prend s’en comprendre.
Alors que
c’est justement un acte d’amour. Un dominant veut que sa belle soit plus belle
(dans tous les sens du terme) elle est le joyau. Il fait attention à ce qu’elle
brille et rayonne. Un dominant ne va pas créer une soumise il fat la nettoyer
de son enveloppe et révéler ce qu’elle est. Révéler à qui ? À elle à lui… Plus
des fois cela dépend des besoins.
Elle : Cela
me donne encore plus envie, une envie terrible même de me lancer avec toi dans
des échanges très, très cochons et qui, même s'ils n’en restent que virtuels,
n'en seront pas moins intenses si tu veux jouer le jeu comme j'ai bien
l'intention de le faire de mon côté. Je suis très heureuse de la tournure que
semble prendre notre relation. Oui, je vais adorer écrire des tas de textes
excitants et même salaces ou simplement parler de nous. Je vais adorer lire tes
folies et tes écrits en retour.
Moi : Je
suis le journal interactif ^^.
Mmmm,
déshabilles toi mais pas trop vite…
Laisses je
vais le faire !
Elle : Oui,
je te laisse faire. Tu veux me déshabiller toi-même sans doute pour me
découvrir. Mais, et toi ? Je ne sais
absolument rien de ton physique. Quelle est la couleur de tes yeux ? Portes-tu
une barbe, une moustache ? Comment sont tes cheveux ? Tu vois, je suis très
curieuse, même si le physique d’un homme m’importe peu pour me plaire.
Moi :...
Elle : Sache que,
comme pour bien des femmes, concernant mes goûts pour les mâles, si on me donne
à choisir entre un homme beau comme un dieu mais dénué d’humour et un homme des
plus laids mais empli d’humour et de charme, je choisis ce dernier sans
conteste. Le physique n’est pas primordial. Je m’attache davantage à la beauté de l’âme.
C’est pour cela que j’ai épousé mon mari et que je l’aime toujours. Aussi, tu
aurais pu être Quasimodo, avec un gros nez, des oreilles en pointe ou que
sais-je, je m’en fiche. Je te veux tel que tu es tout simplement. Décris-toi
juste un peu plus s’il te plait…
Moi : Personne
ne s’est plaint. Je ne crois pas…
La taille,
je ne l’ai jamais mesuré, jamais fait de complexe dessus, ni de concours.
Elle me
parait normale. Heu… les dames protestent pour les gorges profondes. Elles
bloquent des fois !
Elle : Ouaaahhh
! Moi qui n’ai jamais eu à moi une queue
très impressionnante, je pense que la tienne est à mon goût. C’est bon
d’imaginer cette belle bite venir me défoncer le cul, sa grosseur et sa
longueur venant forcer mon petit trou, puis le fond de ma gorge.
Et, petite
question intime, éjacules-tu abondamment ou pas ? Tu sais, j’ai un défaut,
comme bien des femmes. Je suis très, très curieuse... Cela peut-il se soigner
par de belles cinglées ?
Moi : Je
ne sais pas ce que tu souhaites.
Par contre
ma semence est moins importante qu’a 20 ans et la puissance d’expulsion aussi.
Plus trop de
fantasmes je réalise, je vis et fais vivre.
Elle : Ces
mots révèleraient-ils un homme en passe d’être blasé ? Aïe ! Si c’est le cas,
malgré tout ce que je viens de te dévoiler sur moi, je dois te paraitre bien
fade. Si ce n’est pas le cas, j’espère que l’on fera ensemble un long bout de
chemin. Avec nos envies et fantasmes (que tu me ferais vivre ?), lesquels
ajoutés à notre caractère cérébral feraient un délicieux cocktail. A ne pas
mettre entre toutes les mains toutefois…
Moi : Je
ne suis pas blasé, loin de là. Je crois simplement que maintenant je donne la
note.
J’ai vécu ce
que je voulais.
Mon fantasme
d’ado était de coucher et me faire sucer…
Puis à 18
ans de sodomiser ma partenaire.
Je l’ai vécu
dès que j’en avais les moyens. Je me suis donné la plaisir de le faire et
surtout à ma partenaire.
J’ai un vécu
et certaines femmes m’ont entrainé, éduqué… leurs plaisirs. Je suis réceptif et
j’ai aussi le chic pour trouver la « faiblesse » de ma partenaire. J’ai
l’impression que tout s’est fait « facilement ».
Rien n’est
fade si c’est important pour toi je le prends ainsi.
Mon vécu me
permet de ne pas juger et d’accepter.
Elle : Pour
cela, j’ai hâte que tu m'en dises toujours plus sur ce que tu souhaites (ou en
réaction à ce que je te raconte) pour avoir une idée plus précise de toi et
pour rendre nos échanges encore plus réalistes. Ce que tu aimes, peu ou pas du
tout. En ce qui me concerne, tu as pu découvrir beaucoup de mes fantasmes. A vrai dire, j'aurais pu en citer d'autres si le site les avait prévu,
mais ce n'était pas le cas. Dommage... Mais je vais compléter ce manque
ci-dessous, en prenant le parti de tout se dire, en espérant tes réactions et
que rien ne te choque. Avec mes mots… tout simplement…
Moi : Rien
ne me choque.
Sauf ce qui
est gore, je ne veux pas voir de sang. Je ne parle pas du cycle lunaire des
femmes. Cela m’importe peu de posséder une femme menstrues.
Je parle
d’ablation scarification ou toutes actions qui peuvent donner un handicap
définitif.
Elle : Pourquoi
? Et bien, je pense qu'il nous faudra faire preuve de sincérité également.
C'est à mon sens essentiel pour se donner une chance de durer dans l'exercice
difficile, mais excitant qui s'annonce à nous. Sinon, on ne peut faire illusion
bien longtemps. En tout cas, j'ai tellement envie que tout cela se concrétise
au mieux que je m'efforcerais de me dévoiler selon tes désirs, tes questions et
avec force au niveau des mots. Je dois reconnaître que l'anonymat d'Internet
m'y aidera. Je me lance...
Mais c’est
une forme d’exhibition. C’est tellement honteux de s’exhiber. Et pourtant, cela
procure également un plaisir tellement troublant, étonnant. En tout cas, cela
nous annonce de merveilleuses promesses. Surtout si tu n’es pas à court d’idée.
Hhhmmm, c’est tentant. Je ne demande que cela. Mais, un normand d’une dizaine
d’années de plus que moi, est-il assez vicieux pour cela. Et puis, est-il
capable de défoncer une femme mariée en manque de bite ? Est-il capable de la
violer, de la faire crier avec sa ceinture ou sa queue ? Est-il capable de la
faire fondre de bonheur par les câlins ? Oh le doute me ronge…
Moi : J’aiderai,
je te pousserai aussi. Cela va dépendre de nos échanges et de ce que nous
voulons en faire.
Elle : M’aider
et me pousser. Oui, je crois que cela me plairait beaucoup. Oui, j’ai envie que
tu me fasses jouer des rôles dans lesquels je regretterais que cela ne soit pas
la réalité (et peut-être me donne parfois envie d’essayer réellement). En rêver
la nuit, et même le jour…
Moi : Le bus et
Image [A venir] sont des scénarii où j’essaye que tu te reconnaisses. Où tu es envies de
te glisser dans le personnage féminin.
J’espère que
mes mini histoires éveillent des choses bien plus que les lire et se sentir
émoustillée.
Elle : Tu ne
veux pas t’allonger sur ce divan ? Dommage car je suis très attirée par les
jeux d'infirmière. C'est un métier qui m'a toujours fasciné. Je pourrais bien
venir te soigner, à ma manière, dans nos échanges un de ces jours sur ce divan.
Faire durcir ta queue qui défaille. J'adore sucer une bite toute molle, la
faire revivre, la pomper, la lécher sous toutes les coutures, l'avaler jusqu'à
la racine pour bien l'enduire de salive, te prendre entre mes gros nichons de
salope jusqu'à ce que tu gicles tout au fond de ma gorge. Un délice ! Oh oui,
ton infirmière, ta pute, ta chienne, ta chienne à dresser... T'embrasser
goulûment pour partager ton foutre avec moi. Puis, en guise de prise de
température pour me calmer, m'enculer à m'en faire crier avec ta bite que
j'aurais vite fait de faire revivre... Qu'en penses-tu ? Cela ne ferait-il pas
un beau récit ? Est-ce celui-là que tu voudras que je t’écrive ? Ou bien plus
tard si tu préfères que je t’écrive d’abord une rencontre plus classique mais
excitante (j’ai une petite idée).
Lâches toi
si cela te fait plaisir.
Je dis
plaisir je devrais dire si cela te donne envie de te faire empaler, prendre
comme une salope, une chienne être là en levrette utilisé et utilisable par
l’homme qui le souhaite.
Moi : L’infirmière
pourquoi pas… Qu’elle s’occupe magnifiquement de son patient pour le
ressourcer. Une bonne pipe n’a jamais fait de mal je pense. Partageons mon
foutre cela ne me dérange nullement. Ma bite oui d’autres objets, j’ai des spéculums vaginaux et anaux, je pourrai vérifier si ma bite peut entrer en toi.
Te dilater pour insérer bien plus qu’un sexe.
Suite.
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